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THOMAS FERSEN and THE GINGER ACCIDENT.

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« Joe la classe ».

 C’est l’une des chansons, du dernier opus, de Thomas Fersen »The Ginger accident ».

    Pour commencer, je tiens à informer que le nom même du disque, aurait du, mettre quelqu’un sur la voie.

    Et oui, « ginger », il me semble, signifie « gingembre »….

 On est en droit de se demander, quels sont les Dieux, qui ont fait ce  se rencontrer Thomas, et ce groupe.

    Pour information, le gingembre, est aphrodisiaque ! En tout cas, une chose est sûre, pas ceux de l’abstinence sexuelle !

    Ha lala, « comme elle y va la Muse, non mais pour qui elle se prend ».

 Non mais dite donc, vous, « de quoi je me mêle »….

 Et bien vous allez donc m’expliquer pourquoi, et comment, par un grand mystère, Thomas reprend, sr scène, je ne sais pas, mais en tout cas, dans des live, pour fournir sa promo, récente, du « chat botté » ?

   Et bien oui, parce qu’il existe une relation, aussi intime, que certains diraient « libidineuse », si je craignais, que ça ne soit là « mal interprété ».

 Fortement érotique, pour ma part, me semble plus justifié, et plus aimable.

    Et oui, vous avez vu, comme le sacripant, semble être civilisé ?... Ha lala, mais qu’on ne s’y trompe pas !

    Il s’agit, je vous le rappelle, de « pompes », en peau d’anguilles…. Et pourquoi, des anguilles ?

 Et bien, parce que les anguilles, ressemblent, à ce que vous savez, et qui est systématiquement intitulé, par Thomas, « les bijoux de famille ».

   Je riais toute seule, en y pensant, tout à l’heure, dans le bus, parce que je me souviens lui avoir dit, il y a quelques mois, « tiens, c’est marrant, c’est un truc que j’ai jamais mangé, ça, tiens, il faudra que je goûte »…

   Si vous rajoutez à ça, le fait, que ce soit, difficile à attraper, parce que gluant, vous remettez une couche de la chanson « Iguanodon », du « chat botté », et vous avez « Joe la classe ».

    Ha, oui, je n’ai pas encore écrit, quasiment sur son dernier disque, mais comme vous pouvez le voir, « je n’en pense pas moins », et surtout, je connais le filou, « comme ma poche ».
 C’est-à-dire, « celle de son jean, précisément ».


www.lefigaro.fr/le-live/2013/10/11/03018-20131011ARTFIG00335-thomas-fersen-la-fantaisie-et-la-joie-en-chansons.php


Françoise Niel Aubin

Version imprimable | Actualités | Le Mardi 15/10/2013 | 0 commentaires | Lu 639 fois



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