Je ne sais pas, Pas parce que je n'aimais pas le réalisateur, en tout cas.
Il n'est pas impossible, qu'au moment de sa diffusion, la violence des scenes, m'ait fait y renoncer, mais je dois dire, que je suis incapable, de vous le certifier.
Quoi qu'il en soit, c'était donc, une decouverte, pour moi, ne connaissant le film, que de réputation, pour, en dehiors de ses qualité, les recompenses qu'il avait reçues, à Cannes, si je ne trompe.
Thomas, ce soir, sur le chat, m'a dit quelquechose de précis, pour me rassurer, juste histoire de me préparer, psychologiquement, et je dois dire, que l'avertissement, n'était pas de trop.
Je le remercie d'avoir eu la délicatesse, de faire le nécessaire, pour que mon téléviseur ne fonctionne pas "encore", de telle sorte que les scènes de violence me semblent moins difficiles, et je dois dire que là encore, c'était bien vu.
Quoi qu'il en soit, connaissant, de façon relativement mal, cette térrifiante epoque de notre Histoire, ormis, par le qualificatif de "massacre de la saint Bartelemy", je dois dire que par beaucoup d'aspects, j'ai été très surprise, et malgré la violence, omnipresente, absolument passionnée, par le film.
La leçon à tirer, d'un tel massacre, qui salit notre Histoire de France, doit rester, je crois, comme un véritable avertissement, qui est fait, à l'Humanité, toute entière, par le " mauvais exemple", que l'on donne... Et que ce film, fût fait, par Patrice Chereau, n'est que la preuve irrefutable, que le besoin, de mettre en exergue, le fait, que les religions, sont plus des emnnemis, des hommes, que leur serviteur, s'en trouve plus que demontré, car ça n'en constitue que la preuve irrefutable, qui s'adresse ainsi, à tous les humains, toutes religions confondues.
Que je tienne, un tel discours, en surprend peut être certains, alors, dans ce cas, je vous dois quelques explications, peut être, que les autres connaissent, et vous allez voir, comme decidement, l'inconscient collectif, dans le milieu artistique, existe bel et bien.
Il comporte, comme des sortes de passerelles, dont par définition,nous ne sommes pas conscients, mais qui existent.
En effet, pour mémoire, quand Thomas Fersen, décida, moi, "abimée" que j'étais, dans son univers artistique, comme source d'inspiration, il le fit, par une chanson, qui s'appelle "DIANE DE POITIER".
Une fois accusé le coup, émotionnellement, donc, assez vite, je lui repodais, par écrit, la chose suivante:
"Dis donc, je suis allée voir, dans le dico, elle était super belle, Diane de Poitier, et bien encore heureux, que que tu n'ais bien choisi, imagine que tu ais pris Catherine de Médicis, la zigouilleuse de protestants, ça aurait été nettement moins flatteur"....
Sur ce, Thomas, avait rigolé, et m'avait refait, un clin d'oeil, avec si mes souvenirs sont bons, Sanseverino, qui l'avait recasé, dans l'une de ses chansons.... Enfin, à ce stade, c'est toujours, un certains chapelet de ricochets, dont je n'ai pas la totlité, en mémoire.
BREF.....
Que je n'ai jamais inspiré, Patrice chereau, je n'en sais "fichtre" rien, mais en tout cas, pas pour ce film. Mais quand j'ai vu, la scene de chasse à cour, avec le sanglier, je dois dire, que j'ai ouvert de grand yeux !
Derniers commentaires
→ plus de commentaires