Françoise Niel Aubin

Mots-clés : FN, Marine le Pen.

   Je cite « c’est au nombre de ses ennemis, que l’on reconnait, le charisme de quelqu’un ».

   Je ne sais plus, qui a dit cela, mais ça a été repris, par Marine le Pen, dernièrement.

   Le charisme de quelqu’un, peut se reconnaitre, de cette façon, c’est un fait, mais ça n’est QUE partie, des signes distinctifs, qui signent un charisme véritalbe.

    Car qu’est ce que le charisme, si ce n’est une volonté farouche de « vouloir sortir du lot ».

    En gros, « refuser d’être une brebis »…

    Je trouve que de voir le FN, reprendre une telle théorie, est pour moi, une source d’inspiration, absolument merveilleuse.

    En effet, il importe donc, et c’est elle, qui le dit, pour voir son charisme vraiment reconnu, d’avoir un certain nombre de procès aux fesses, c’est pour cette raison, donc, je suppose, que son père a fait, d’aussi vilains jeu de mots, par le passé, parce que trop stupide, politiquement, pour exister, par l’innovation, de ses idées, il lui fallait provoquer, le reste du pannel politique, et notamment, le milieu associatif, pour se voir poursuivi en Justice, et ainsi, faire preuve de charisme.

    Avoir du charisme, à mes yeux, n’est absolument pas proportionnel, aux nombre de procès que l’on a. 

    Non, ça c’est une chemin, que moi, je ne recherche pas, je pense moi, que la Justice, a mieux à faire, qu’à laver, les consciences, d’un parti d’extrême droite, qui de toute façon, ne peut exister, que par la merde, dont il s’enduit.

   Non, pour moi, le charisme, respectable (puisque l’on a la preuve, depuis bien longtemps, que ça n’est pas synonyme de vertu), consiste à lutter, pour défendre certaines idéologies, qui rehaussent, l’âme humaine.

    Les gens qui inventent, qui créent, qui militent, pour défendre des idées novatrices, même si elles peuvent sembler étranges, voir inquiétantes, allant, assez souvent, à contre courant, quitte à se mettre certains puissants à dos, ou le peuple français, à dos, ceux là, oui, sont des gens que je qualifierai, moi, de « positivement charismatiques ».

   En fait, le mot « charisme », sans précision, est un mot ridicule, s’il n’est pas qualifié.

   Dans son milieu, celui de la mafia, un mafioso, peut considérer, d’une certaine façon, qu’il a un certain charisme, c’est donc une théorie, absolument ridicule, et infondée, si elle n’est pas suivie, de la défense, d’une certaine idéologie, voir d’une certaine morale.