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Pour Alain Delon, l'homexualité, est "contre nature".

le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il ne vieillit pas bien, le pauvre vieux !

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 Ha, je me disais bien, aussi, qu'il devait bien y a voir, quelques accointances, vis à vis e l'extrême droite, pour qu'il soutienne, ouvertement, le FN...

 "Contre nature".

   Et il aurait fait quoi, cet imbécile, si  ado, il avait pris conscience que c'était les hommes, qui l'avait attiré, sexuellement, il aurait choisi quoi ? Le suicide ? Ou bien quoi, qu'il m'explique, un peu...

  "Contre nature", c'est parfaitement faux, l’homosexualité, existe, v bel et bien dans le règne animal.

   Quand au fait, qu'il remarque, que les hommes, ne sont plus des hommes, et les femmes, plus ds femmes, j'ai le regret de lui annoncer, qu'à regarder un peu trop, dans le rétroviseur, il est en train de devenir,  UN VIEUX CON.

  Et oui, c'est ainsi, la vérité, c'est qu'il a toujours existé, chez les hommes une certaine tendance, à la féminité, qui a toujours, été refusée, de voir assumée, pour des raisons culturelles, simplement, tout comme le machisme, qui prévaut, de puis des siècles, et des siècles.

  Pour les femmes, c'est exactement pareil, pour leur part de masculinité.

   Masculinité, que soit dit en passant, on s'est bien gardé de leur reprocher, quand il fallait assumer, la part, que l'homme lui, pour cause de guerre, ou de lâcheté, elle, se retrouvaient par la force des choses, à assumer, pour contre balancer, le fait, que les hommes, (les pères, notamment), se soient "carapaté".

  Oui, parce que pour information, les talons aiguilles, le maquillage, et les décolletés profonds, pour aller glaner les patates, dans les champs, traire les vaches, il y a encore quelques décennies, et encore, aujourd'hui, chez certaines, fort nombreuses, faire des ménages, en pleine nuit, parce que le père, s'est fait la malle, et que ce sont elles, qui se démerdent, du mieux qu'elles peuvent, pour nourrir la nichée, on est bien loin, d'une féminité, glamour, dont rêve, monsieur Alain Delon.

 Il serait temps qu'il descende de sa branche, "le singe" en question, là, et qu'il retrouve le plancher des vaches, justement, afin d'avoir les deux pieds, bien ancrés, dans la réalité de la vie, telle qu'elle est, c'est à dire, bien loin, de l'époque, plus que florissante, où le cinéma français, l'engraissait largement, et qu'il avait un profil de jeune premier.



Françoise Niel Aubin

Version imprimable | Actualités | Le Dimanche 17/11/2013 | 0 commentaires | Lu 526 fois



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