Je suis moi, assez en colère, je dois dire, de voir, l’opposition, notamment, mais aussi, la gauche, et les lycéens, juger la décision, du chef de l’État, aussi durement.
Pour les premiers, le problème de l’immigration, vers l’Europe, n’a été pris en considération, que sur le plan national, uniquement, sur le côté repressif, qui plus est, sans jamais avoir formulé, la moindre demande quasiment, ou si peu, au niveau, des instances européennes, et pour tous les autres, ils stigmatisent, ce cas particulier, au plus grand mépris, de l’ensembles, des autres cas, qui à mes yeux, sont tout aussi importants, que ce cas particulier.
Pour moi, décider de quitter son pays, est un acte majeur, dans la destinée d’une famille.
Ce père, est un père rigoureusement irresponsable, et qui par son comportement, à l’époque, où il était en France, a démontré, son irresponsabilité, en temps que père de famille.
Je tiens quand même à rappeler que le problème, au sujet de cette famille, c’est bien le comportement du père, qui par sa faute rend le retour de la famille, inenvisageable, et j’espère bien moi, contrairement à ce que veulent, parait il, certains politiques, que cette décision, d’interdire ce retour, sera bel et bien respectée.
Pour information, des cas comme celui là, il y en a souvent, et ce sont des gens, qui souvent, font preuve, d’une réelle bonne volonté, de s’intégrer, quelque soit le pays concerné.
Je ne parle pas là, de niveau d’étude, parce que je suis, moi, absolument contre, ce que l’on appelle « la fuite des cerveaux », théorie, soit dit en passant, bien chère à Nicolas Sarkozy, version, « on leur file des cours de français, ceux qui sont à la ramasse, on leur interdit, la carte de séjour ».
Oui, je sais, je fais dans la synthèse, mais tout le monde comprend, ce que je veux dire.
On peut, AUSSI, être un simple balayeur ou une femme de ménage, et prétendre, vivre, dans un pays, qui espère t on, va nous rendre, une forme de dignité.
Quand à ceux, dont ce père fait partie, visiblement, qui seraient tentés, de dire, que de mentir, sur ses origines, ou celles de ses enfants, pour parvenir à intégrer, un pays européen, quel qu’il soit, je tiens à préciser que ce ne sont pas là, des méthodes, à encourager, parce que le désespoir, lui, n’interdit absolument pas, de garder, une certaine éthique, quand à son comportement.
Pour moi, ce cas, si « particulier », (je ne juge pas Léonarda, quand je dis cela, mais bien son père, et son père, seul), il ne s’agit, de rien d’autre, qu’un père, particulièrement opportuniste, qui est le symbole même, qu’un émigrant, ne doit surtout pas suivre.
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