S'identifier - S'inscrire - Contact


Successions "delicates".

Mots-clés : , ,


    C’est un thème pudique, pour dire  « conflictuelle », enfin, en règle générale, je dirai, en un mot, « merdique ».

  En règle générale, un patrimoine, et les enfants, qui sont sensés heriter, ne parviennent pas à   s’entendre, pour que la succession puisse se faire, de façon sereine.

 Pourquoi  ?

   Parce qu’il existe toujours, soit deux clans, soit l’un des enfants, qui prétend  utiliser son droit, pour régler des comptes, avec certains frères et sœurs… Ou un parent encore en vie.

   De savoir, qui a tort ou raison, je me garderai bien de me prononcer, d’une part, parce que je suis moi, concernée au premier chef, et d’autre part, parce que chaque succession, est un concentré, d’une histoire familiale  extrêmement complexe, et qu’à ce titre, la « recette miracle », n’existe pas.

   J’ai déjà moi, pointé  du doigt, ce problème, depuis plusieurs années, et je sais que je suis la seule à l’avoir fait, et surtout, à avoir proposé, déjà, quelques solutions, pour y voir plus clair, aussi je tiens à préciser que je suis parfaitement prête à travailler sur le sujet, dés qu’on m’en donnera la possibilité, ne serait ce que juridique.

  En gros, pour faire court, il se trouve que certains enfants, généralement, habitent certaines maisons, qui font partie du patrimoine (c’est mon cas, à moi aussi).

  De façon générale (dont  dans d’autres cas, que je connais, aussi, dans d’autres familles), paient leurs loyers, « ou pas ».

   Les maisons, le plus souvent, sont vétustes, et donc, ne seraient généralement, absolument pas « louables », juridiquement, compte tenu du fait, que la loi, elle, exige une certaine conformité, pour qu’il puisse être envisagé, qu’un  bail soit rédigé, et un contrat de location réellement exigé.

   Le problème réside dans le fait, que de façon inconsciente les parents choisissent de louer au départ, ces maisons, dans le but, de garder une forme de main mise psychologique sur les enfants, alors, que « officiellement », non seulement, il s’en défend , mais en plus, ils exigent le loyer.

   De leur côté, les enfants concernés, eux, acceptent de venir habiter ces bien immobiliers, officiellement, comme ils habiteraient, n’importe quel autre bien, alors, que dans la réalité, ils le font aussi, dans le but, de garder effectivement un lien affectif  avec leur famille d’origine.

   Dans la quasi majorité des cas, au fil des ans, y compris, quand l’enfant en question  paie son loyer, rubis sur l’ongle ( je connais un cas comme ça), le simple fait que l’un des enfants habite une des maisons s du patrimoine, suffit, à créer la discorde, et à bloquer, la succession.

   Qu’il soit nécessaire  de légiférer, sur la question, est une absolue évidence, si l’on considère que ces successions  se trouvent bloquées, pour plusieurs décennies, simplement, parce que sur l’ensemble des frères et sœurs, il suffit, que l’un d’eux, refuse de signer  la proposition de partage, rédigée par le notaire pour que la totalité de la succession soit bloquée.

 Alors, « quoi faire ».

 Moi, je considère qu’il est nécessaire, qu’au sein des tribunaux, il existe quelqu’un, qui ait des notions, de psychogénéalogie, dans le but, d’aider certains notaires, quand le  cas se présente.

   Ensuite, pour les enfants, qui se voient reprochés, d’être logés, par leurs parents, quelque soit le contexte financier,  matériel ou psychologique,  quitter ce logement, et aller habiter ailleurs, pas nécessairement loin de la famille, ou de son secteur, mais en tout cas, dans un bien, qui n’appartienne pas, à la famille en question, de telle sorte, que le côté psychologique, ne puisse plus, en aucune façon, servir de prétexte, au pourrissement de la situation, et à la dégradation de la situation au sein de la famille.

   En fait, pour des parents, comme déjà expliqué, dans d’autres articles, que j’ai rédigé, sur le sujet, ça consiste aussi, à garder une forme de préemption, et d’ascendant psychologique, sur ses enfants.

   Une fois parti habiter ailleurs, ils se retrouvent, sans pouvoir en c  aucune façon, ainsi, trouver à redire, devant u enfants, qui montre son désir d’émancipation, et le démontre par les actes.

    Pour ma part, c’est c que je souhaite faire, j’en ai fait la demande officiellement  à ma tutrice, pas plus tard que la semaine dernière.



Françoise Niel Aubin , ,

Version imprimable | Actualités | Le Jeudi 04/09/2014 | 0 commentaires | Lu 597 fois



Archives par mois