S'identifier - S'inscrire - Contact


Non, les demandeurs d'asile, n'ont pas envie d'être internés, en hôpital psychiatrique.

Oui, oui, "il fallait oser". Et bien j'ose. Deja que je dois me coltiner un travail, pour lequel je ne suis pas rémunérée, alors, si vous permettez, je ne vois pas pourquoi, je me priverai d'un bon mot, à plus forte raison, si c'est pour la bonne cause.

Mots-clés :


www.francetvinfo.fr/societe/roms/expulsion-de-leonarda/des-parlementaires-veulent-des-quotas-par-regions-pour-mieux-repartir-les-demandeurs-d-asile_470044.html

 Si je resume bien, la problematique, est la suivante.

 Demandent à entrer et être reçus, sur le long terme, plusieurs catégories d'humains, qui sur le terrain, se nuisent, mutuellement, les uns les autres.

 Je pense que l'idée n'est pas mauvaise... Mais je comprends parfaitement la position, des associations...
 
 Oui, je fais dans le "ptetre bien qu'oui, pt'etre bien qu'non".

 Mais je m'en explique.

 Ce qui est souhaitable, je crois, c'est qu'il est necessaire de dissocier l'arrivée, des demandeurs d'asile, avec leur projet de vie.

 Je parle, de dissociation, sur le plan intellectuel.

 En effet, les demandeurs d'asile, dans un premier temps, sont des personnes, qui ont été victimes, de menaces de mort, ou d'atteinte graves, à leur vie privée et notamment, à leur liberté d'expression, assez souvent.

 Je pense moi, qu'il serait bon, qu'ils soient pris en charge, de façon didactique, dans un premier temps, et je n'ai pas dit "autoritaire".

 Le fait de se voir imposé, une region, ou un lieu de residence, n'est pas à mon avis, une si grave atteinte, à leur dignité...
 si le prix à payer, en est qu'ils se retrouvent logés, de façon decente, eventuellement, dans des infrastructures, où ils puissent disposr de tout ce qui est necessaire, pour eux, se remettre en selle, et d'envisager leur vie, de façon positive.

 Mais je pense moi, que ça doit faire l'objet d'un contrat, signé, où l'etat s'engage pour une durée determinée.

 Pendant cette periode, ainsi, ils auraient la possibilité, de se reparer, et d'envisager leur avenir, avec plus de serenité.
 Passé cette periode, le refugié serait en droit, ensuite, d'aller habiter, où bon lui semble.

 Mais pour être franche, je ne pense pas moi, que les fortes concentrations aux abords de Paris, Lyon, ou l'st de la france, soit un contexte, qui soit favorable, à une installation, dans de bonnes conditions, sur le sol français.

 Et pour ce qui est des lieux de residence, ils pourraient parfaitement intégrer les maisons, transgenerationnelles, par exemple.

Françoise Niel Aubin

Version imprimable | Actualités | Le Vendredi 29/11/2013 | 0 commentaires | Lu 367 fois



Archives par mois