Oui, bien sûr, je sais parfaitement celà.
Nelson Mandela, lui même, m'avait fait savoir, par l'intermédiaire de Thomas fersen, à quel point il était inquiet pour son pays, parce que les répercussions positives, de ce qu'il avait semé, lui semblaient infiniment, insuffisantes. Et que son inquietude, était grande.
Je lui avais donc, repondu, qu'il n'y avait pas d souci, que je ferai de mon mieux, pour continuer, à veiller, sur son pays, conformement, à sa demande.
Je precise, que si j'ai dit celà, c'est bien au delà, de l'énorme admiration, que j'avais pour l'homme qu'il était.
J'ai en mémoire, un reeportage ue j'vais vu, sur Sowetto, qui montrait le travail associatif, là bas, sur place, par des musiciens, qui apprenaient à des gamins, à faire des percussions, avec des bidons, et les mamans, qui conffectionnaient les costumes, je m'en souviendrai, je crois, ma vie entiére.
Je precise que s'il m'arrive de me decourager, quelquefois, jamais, au grand jamais, je n'ai envisagé, de ne plus me preoccuper, de ce à quoi, je m'étais enaggée, aupres de Nelson mandela, c'est juste, une question de teps, et c'est tout.
J'ai en mémoire, aussi, un reportage assez terrifiant, qui faisait office, du nombre incalculable, de viols, et agression sexuelles, en Afrique du Sud. Je sais, que l'homophobie avérée du pouvoir en place, est assez terrifiant, là bas.
Je veille, du mieux que je peux, si l'on m'en donnait les moyens, je serai bien plus efficace.
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