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Connaissez vous, les Bass bands ?

Compte rendu, des deux jours, de championnat de France, des bass band.

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Championnat de « bass band », Janvier 2014, salle des Vickings à YVETÔT.

Le concert d’introduction  avait lieu la veille, à Pavilly à la halle aux grains, avec le bass band de Lyon.

    Entrée gratuite, pour l’occsion, histoire de se mettre en jambes(même si ça n’était pas d’athletisme, dont il était question).

 La salle était pleine à peine aux deux tiers, malheureusement.

   J’aurai du faire de la pub, je le reconnais, mais je dois dire que le fait d’être sollicitée, sur autant de fronts  simultanément a, entre autre, pour effet  que certains aspects, dont le culturel, de façon générale, s’en trouvent quelque peu négligés…

     Mais enfin, face la guerre en Syrie, avec un Bachar el Assad, qui aurait tendance à se prendre pour ce qu’il est bien loins d’être, c'est-à-dire, un homme respectable, ou bien la révolution en Ukraine, où l’epaisseur de la neige, est proportionnelle à la souffrance des  Ukrainiens,  la température expeterieure, étant inversement proportionnelle, à la bonne volonté, du pouvoir en place,  rajoutez à ça, la visite de François Hollande, au Pape François Ier…. Et me voilà, plus que submergée, et donc quelque peu indisponible, pour tout ce qui est culturel….

     Mais ne vous inquietez pas « j’ai l’habitude », et je passe entre les gouttes, de l’indifférence, en règle générale, aidée de mon accolyte, qu’est Thomas Fersen, qui veille sur son égérie, comme un père de famille, veille sur le barbecue,  quand  les merguez grillent, par une tres belle journée d’été.

 

     Enfin, donc, à part  suivre mon isntinct, plus que sûr, et tâcher de parer au plus urgent, du mieux que je peux, bon an mal an, je me rendais donc, hier soir au concert à la halle au grain, cette même halle  étant l’endroit, où ma maman, venait vendre son beurre, il y a bien longtemps à présent.

    Une fois tout  ce petit monde installé, je remarquais, que les trois premiers rangs, théoriquement, réservés  aux notables  étaient vacants, aussi je ne me privais pas, pour m’y installer, j’ai bien essayé de m’allonger  sur la totalité, du pemier  rang, mais malgré ma silhouette plus que longiligne, je ne parvenais pas à occuper, la totalité, de celui-ci.

    Peu importe, je ne boudais pas mon plaisir, je me retrouvais, en fait, dans la même sitution, psychologiquement, et émotionnellement, que quand j’écoutai, Thomas Fersen, dans ma chambre, terrassée, par une grave depression, et que seul son univers, me prodigait, cette bulle salvatrice.

 

 J’ai profité de ce concert, tres amusée, je dois dire.

    J’étais un peu comme une petite fille, qui n’a jamais assisté, à un orchestre de cuivres, quasiment, enfin, oui, qualsiment. Jamais une telle concentration, sur une scène, en tout cas.

   Je decouvrais en fait, le nombre impressionnant  de cuivres, car j’ignorais, que les instruments, étaient aussi divers…. Mon âme d’enfant  refaisant  surface avec d’interminables, et surprenantes questions, dont moi seule, était capable, pendant mon enfance….

 Il faudra que j’aille voir les noms, ceux que je n’ai pas retenus, je parle des instruments, bien sûr.….

 C’et bien rare si je n’en tire pas quelques chose.

   Je fermais, de temps en temps les yeux, comme je le fis, aujourd’hui, à Yvetôt, non pas que je m’endormais, mais de ne faire qu’écouter, sans la vue, permet quelquefois, à des equivalences imagées, de faire irruption  plus spontannément.

 Enfin, chez moi, c’est comme ça, et j’en ai eu, encore, aujourd’hui confirmation.

    Hier soir, au retour,  je déposais, sur le site de France Bleu, un commentaire, pour expliquer, pour quelle raison  les cuivres, en ce moment, faisant de nouveau irruption, il me semble, plus que les instruments à corde, permettant en effet, de continuer,  le mode acoustique, dont j’ai l’honneur, d’être à l’origine, dans la chanson française, depuis une dizaine d’années, à present.

   Hier soir, donc, j’ai voyagé, dans les films, classiques, des années 50….Tour à tour, j’étais un drône, equipé d’une camera, en rase motte, épousant, de façon, « virageuse », les vallées, les montagnes, fort nombreuses, en pays de caux, comme chacun sait, les cours deau, et la musique me portait, et allumait en moi, le desir d’habiller cette musique, d’image, qui s’imposaient…

    Puis je me téléportais, dans un film de cape et d’épée,  imaginant des mousquetairesà cheval,  qui courraient criniére au vent, dans une clairiére improvisée……

    J’ai pu discuter, avec le responsable, de ce bass band originaire de Lyon, et lui tirer un peu, les vers du nez.

    L’un des musisciens, plus jeunes que mesfilles, originaire de Pavilly, était sur scène, et fait carriére dans un orchestre…..

    Au debut, et à la fin du concert, on invitât le public, à veni r aujourd’hui, pour le concours… Je montais alors sur scène, et faisait remarquer au chef d’orchestre, (le courant passait bien), qu’il commençait à y a voir des femmes, chef d’orchetre, et qu’il était sur un siége ejectable… Ce qui fit rigoler, un peu….

    Puis je  faisais remarquer, que les  cuivres, avaient la particularité, d’être en forme de petunia…. Alors, qu’un des instruments, s’appelle un bugle (nom d’une autre fleur).

 En gros, les cuivre, non contents, par le métal, d’être l’un des traitements les plus naturels au jardin, en sont voisins, aussi par la forme de leurs instruments…. Comme quoi……

 « BON SON NE SAURAIT  MENTIR ».

 

 En cours d’écriture.



Françoise Niel Aubin

Version imprimable | Actualités | Le Lundi 27/01/2014 | 0 commentaires | Lu 618 fois



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