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maisons transgénérationnelles et CROIX ROUGE FRANCAISE.

La CROIX ROUGE fête ses 150 ans.

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    Il m’a été suggéré ce midi, par son président, d’apporter ma pierre à l’édifie, alors, je rédige, ce projet, pour le leur soumettre.

    Il est vrai que j’ai une relation privilégiée moi, avec elle, pour diverses raisons alors, effectivement considérant le fait qu’ils soient présent sur tout le territoire, ça serait effectivement parfaitement envisageable.

   Le principe de cette maison, en est qu’elle est sensée proposer une forme de substitut à la famille, telle qu’elle est à la base, traditionnellement.

    Il pourra arriver, qu’elle soit aussi tenue, pourquoi, pas, par un couple Homosexuel, ça ne pose aucun problème.

    Mais le principe, réside dans le couple « parental », qui par son parcours individuel, ou celui de couple, aura suffisamment de personnalité et d’expérience, pour proposer une cellule, qui puisse y être assimilée.

    J’insiste beaucoup, sur la notion d’expérience,  mais aussi, sur le fait, que les postulants, devront avoir subi, chacun, une analyse, ou bien soit en cours, de telle sorte qu’ils soient assez aguerris, pour faire face aux pensionnaires, qu’ils accueilleront.

     En effet, dans l’hypothèse où ces couples, bien qu’expérimentés, n’aient pas fait cette analyse, il serait problématique, qu’à cause d’un passé familial, ou un parcours douloureux et chaotique, ils transfèrent leurs souffrances sur les pensionnaires, devenant alors beaucoup moins efficaces, vis-à-vis de ces  derniers.

   J’en tiens pour preuve, par exemple, certains couples aguerris, qui ont derrière eux une carrière d’éducateurs, ou de travailleurs sociaux, qui avec l’usure, ne pourraient que difficilement remplir ce rôle.

 

 Pour le couple en question, l’idéal moi pour serait, qu’il s’agisse d’un couple véritable.

    Mais il est bien évident, que ce que moi, je demande, je suis parfaitement consciente, que ça sera des « perles rares », et qu’à ce titre, je préfère deux personnes, qui fonctionnent bien ensembles, qui « tiennent la route », et qui ne sont pas couple véritable, plutôt que d’exiger qu’ils soient couple, et qu’ils n’assurent que plus difficilement.

    Il est tres important, qu’il soit assimilé, qu’un certain nombre d’activités soient présentées, selon le bon vouloir du couple « chef », ou « parental », de telle sorte que ce soit pour eux, non pas « un travail », mais bien un lieu de vie  et de partage, de telle sorte que ça soit moins pesant, psychologiquement.

   Ainsi, il me parait souhaitable, que chacune d’elle, porte un nom, auquel sera rattaché certaines activités, qui lui seront propres.

    Le but, consiste à recueillir, tous ceux, qui seront demandeur, SUR LE LONG TERME…… en fait, aussi longtemps, qu’il sera nécessaire.

    Pour le fonctionnement de ma maison, il va sans dire, qu’une partie, sera financée par l’etat, et une autre, selon les revenus, des pensionnaires.

    Le but recherché, n’étant bien évidemment, aucunement, de gagner de l’argent, mais bien, de faire cohabiter, plusieurs générations, sous un même toit…..

    Chaque maison, sera en relation, avec la cellule psychologique, ou hôpital de jour le plus proche, qui sera la liaison, avec le psychologue, ou les psychologues, qui y seront rattachés.

    Dans l’hypothèse où un pensionnaire, ne parvient pas à travailler, avec le psy, qui est rattaché, à telle maison, il sera prévu, une permutation, ou une adaptation de la prise en charge du psy.

 Au sujet du suivi psychologique, qui puisse s’avérer nécessaire.

 Mon desir, à moi, consiste à faire cohabiter, l’éducateur (trice), le psy, et les pensionnaires, éventuellement dans l’idéal, habitant dans la maison transgénérationnelle, ou alors, prenant les repas, avec ou faisant des activité, avec, et sans pour autant, nécessairement, dans un premier temps, sous un angle thérapeutique.

 MON OBJECTIF.

    C’est que « vivant »,  et mangeant à la même table, les pensionnaires, et les professionnels, aient chacun, une perception, différente, des à aprioris, qui sont véhiculés, systématiquement, et qui, donc, empêchent certains patients d’entamer véritablement, un travail thérapeutique.

 Imaginez un alcoolique…..

    Il refuse de se soigner, parce qu’il prétend, ne pas l’être, généralement, et s’il finit par l’admettre, il refuse le moindre travail thérapeutique, à cause des à prioris.

    Si vous faites cohabiter, ces personnes, au quotidien, et que le pensionnaire fait la vaisselle, pendant que le psy l'essuie, et que l’éducatrice, est un train de faire un gâteau pour le soir, je puis vous assurer qu’en deux coups de cuillers à pot, le « pensionnaire », va systématiquement commencer à regarder les deux zozios, avec un œil diamétralement différent, que dans un cabinet de psychologie.

    Bon, l’idéal, etant, bien sûr, que le pensionnaire, sorte des conneries, bourré, ou pas ( je plaisante), mais qu’il engueule le psy, parce que il est nul, pour essayer la vaisselle, et que le gâteau soit raté, pour le soir, je dois dire, accélérerait considérablement, le processus d’adaptation….

    Ce que je veux dire, c’est qu’un alcoolique, il n’est pas QUE alcoolique, il a dans son parcours personnel, vécu des choses, absolument merveilleuses, généralement, que son alcoolisme, ne lui permet absolument plus de voir….

    En vivant, « normalement » et retrouvant des gestes du quotidien, au service d’une micro société, comme la maison transgénérationnelle, il modifie complétement son jugement, sur les professionnels, qui sont effectivement capables de l’aider.

 Pour le bâtiment, l’idéal, serait, la taille « petit château », parce que une trop grande structure, risquerait, de perdre le côté « famille ». pour moi, « 12 ou 14 parents compris, est un maximum….

  Il serait bien qu’il y ait un accès handicapé, en rez de chaussée, pour pouvoir accueillir, un ou deux handicapés, mais ça ne doit pas être un critère obligatoire.

 « Pourquoi » ? On ne l’exige pas pour une maison d’habitation…. Mais si c’est possible, si par exemple, certaines de ces maisons, sont construites neuves, alors, ça sera plus facile.

 « 3 quart d’heure,  3 heures, 3 jours, 3 mois ».

 

 Le but, etant que le pensionnaire, s’adapte, petit à petit.

   Beaucoup de postulants, pour ce genre d’hébergement, ont  vécu de sales moments depuis des années, voir, des décennies.

   Ainsi, pour beaucoup, le simple fait, de prendre un repas, avec des gens qui ne sont pas systématiquement, des SDF, ou des parias, risquent de leur sembler extrêmement étrange au point que ça leur fasse terriblement peur.

 C’est pourquoi il sera impératif de procéder avec de multiples précautions.

   De façon, générale aucun alcool et aucune drogue, ne devra être accepté…

   Non pas que je les rejette systématiquement, par principe (je parle de celles autorisées par la loi, bien sûr), mais il se trouve que certains pensionnaires, alcooliques, ou anciens alcooliques, seront là pour cette raison, c’est pourquoi, c’est si important, à mes yeux, pour ne pas qu’il y ait de rechute.

   Il sera possible, éventuellement, qu’il y ait un peu d’alcool, mais ça sera au chef de famille, d’en décider, avec sa « co chef ».

    Il sera impératif, surtout, que le repas ne soit pas pris, en présence, de la télé ou de la radio, afin que la conversation aille bon train… c’est absolument fondamental.

    Il est tres important, que certaines activités soient proposées, parce que chaque pensionnaire, ayant beaucoup d’angoisses, à calmer, et à maitriser, ces activités, qui n’ont pas à être transmises, par des spécialistes, nécessairement, mais plutôt, par des passionnés, qui aiment transmettre, les choses se passent pour le mieux.

    Il faudra qu’il y ait en permanence une chambre, non loin de la chambre « chef », qui puisse acueillir  quelqu’un, dans l’urgence, avec dans cette même pièce, un lit superposé, pour les urgences du secteur.

    Parce que le problème aujourd’hui, et j’en ai moi, à l’époque, fait les frais, c’est qu’une femme qui se trouve menacée, de prendre des coups, c’est en fin de journée, une fois le mari, ou le compagnon alcoolisé. Ors, les refuges, qui existent, sont incapable, d’assumer, à cette heure là, les lits, son réservés, vers les 14h ou 15h….

    C’est un peu comme si le SAMU social, faisait sa tournée en pleine journée, pour distribuer des couvertures, et que le soir, où la nuit, il ne passent nulle part.

www.youtube.com/watch

 1er Septembre 2014, "je passe à l'offensive", j'ecris à chacune des administrations, concernées par le projet, pour ensuite, faire la synthese, et que jle projet experimental, puisse voir le jour.



Françoise Niel Aubin , , , , , , , ,

Version imprimable | Actualités | Le Jeudi 27/03/2014 | 0 commentaires | Lu 1052 fois



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