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Lutte contre les violences, faites aux femmes, SUITES......

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   Il se trouve que j'ai lu, hier, un témoignage sur le cas d'une femme, qui decrivait la situation, d'une amie, pres d'elle, qui est , je crois, assez representative, de bon nombre de certaines femmes, aujourd'hui, qui sont victimes, de violences conjugales.

   Je ne retrouve pas le lien, alors, je travaille le sujet, sur mon blog.

 Le cas de cette femme, donc, cumule plusieurs causes, et plusieurs aspects, qui sont à mon avis parfaitement sous estimés, y compris, par les travailleurs sociaux...

   Que certains, peut être, puissent juger de la non adaptation du systeme juridique, quand c'est necessaire, ou du manque de dicernement, qui accompagnent, la prise en chages de ces femmes, est une évidence...

   Mais c'est à mon avis, sous estimer, le fait que de ne pas avoir sous les yeux, au quotidien, la vie de ces femmes là, ne saurait être perçu, comme une incapacité, à être de bonne volonté, et de vouloir donc, bien faire.

   Sans entrer dans les details, le cas, qui était raconté, donc, par cette femme, decrivait la VICTIME, comme tres malheureuse en menage, violentée, depuis des années, cette derniere, avait fini, par sombrer dans l'alcoolisme.

  Le mari violent lui, était gendarme, ce qui aux yeux de son environnement social, donnait du credit, à son impunité.

   En effet comment vouloir croire une femme qui se dit battue, par son mari, alors que ce dernier, a pour profession, de veiller, sur la securité, des concitoyens...
 
  Donc, si je shematise, et je ne pense pas être dans le faux, si je vous dis que dans son entourage, "si elle prenait sur la gueule, c'est parce que vraiment, il devait avoir de bonnes raisons".

   Elle étant devenue alcoolique, ça ne faisait qu'appuyer, encore, sur les soit disant bonnes raisons, de la frapper.....

  Oui, je sais, je suis tres dure, en effet.

  Car dans un couple, quand monsieurs est bourré, à la fin du repas, on dit de lui, que c'est un bon vivant, mais si c'est madame, qui en a un coup, dans l'aile, on dit que c'est une depravée....

   Oui, pour ceux, qui pensent que je noircis moi, le tableau, ou bien que je suis en train de racler, les pires aspects, de l'âme humaine, je pense que la seconde version, me semble, la plus juste.

   En fait, à bien y reflechir, ce matin, particulierment, je realise, à quel point, les victimes de violences physiques, sont extêmement proches des victimes  de crimes sexuels....

   Car dans un cas, comme dans l'autre,  c'est de l'integrité du corps, dont il est question.

   Ce qui est plus sournois, dans le cas de violences faites aux femmes, si on le compare, aux violences sexuelles, c'est qu'il existe des signes, annonciateurs, qui commencent par de l'indifference... puis ça evolue, par une forme d'agressivité, qui evoluent, généralement, par des insultes......

   Il doit arriver tres souvent, je pense, que les violences physique, soient combinées, aux viols, dont la femme n'osent absolument pas parler, bien sûr, puisqu'elle ne dit mot des coups  qu'elle prend, ça n'est pas pour rencherir, côté viol, pensez donc.....

   Pour ceux, qui incriminent, une éventuelle imperfection, de cette prise en charge, je tiens à preciser, que la complexité, de cette problematique, rend les choses difficiles, de toute façon, et que de la part du gouvernement, dont je suis la conseillére, je le rappelle,  avoir offert ce site, et ce numero d'urgence, va offrir, la possibilité, justement, de partir de cas concrets, pour pouvoir offrir, une réelle opportunité, à ces femmes, de  briser la loi du silence.

  Hier midi, l'émission, TOUTE UNE HISTOIRE, a consacré son émission, sur des cas d'esclavage modenes, dont voici le lien.

www.france2.fr/emissions/toute-une-histoire


 

Françoise Niel Aubin

Version imprimable | Actualités | Le Mercredi 27/11/2013 | 0 commentaires | Lu 410 fois



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