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Lettre ouverte au journal LA CROIX.

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Lettre ouverte au journal « LA CROIX ».

 

     J’ai appris, par l’intermédiaire, de votre journal, hier, dans un article qui parlait de Thomas Fersen,  que ce dernier, avait deménagé en Bretagne avec « je cite », femme et enfants.

    Pour information, et pour le cas, où certains ne seraient pas encore au courant,  ce dernier, depuis quatre ans, prétend s’être séparé, de sa compagne, alors qu’elle était enceinte de son second fils, à la suite, du fait, que j’ai moi,  recommencé à lui écrire, en Fevrier 2010, et que depuis des années, il ne fait, que me promettre le mariage, et l’adoption, de son second fils.

      Ce que je ressens, depuis la lecture, de cet article, ne regardent que les quatre intérressés, c'est-à-dire Thomas Fersen, sa compagne, ou épouse, et ses deux fils, en bas age…….

   Bien sûr, comme ce dernier n’a jamais communiqué vis-à-vis de moi, que par le biais de la manipulation mentale, il peut être envisagé, que ce soit, là encore, le cas…..

    Hier soir, donc, en etat de choc, je dois bien l’admettre, et ne parvenant pas, et pour cause, à trouver le sommeil, je m’y suis donc attelée, et j’ai travaillé, sur le sujet de l’adultére, comme il semblait le désirer.

    Vous pouvez lire  cet article, sur cette page, juste en dessous.

    Au bout de trois heures de travail, environ, j’osais espérer, moi, me sentir soulagée, d’avoir accompli ma « besogne »…..

   Mais en fait, le malaise, que je ressentais, et que je ressens, encore, en ecrivant ces lignes, était si profond, que je doute, bel et bien, de l’interpretation, que j’en fais, moi….

 Ma nuit, a été l’une des plus épouventables, que je n’ai jamais passées, de toute mon existence.

    Alors, puisque le fait d’écrire, n’a pas englouti ma souffrance, cela sgnifie donc, que mon interprétation, elle, soit erronnée, et que c’est bien au premier degré, que cette derniére, doit être envisagée.

    Quoi, qu’il en soit, ma relation, avec Thomas Fersen, elle, si elle ne concerne, que lui et moi, se trouve par votre complicité, entierement détruite, et la seule chose, que je trouve à dire, là, au bout de quatre heures, de souffrance, ne peut être que la demande, d’un démenti, de votre part, ou quelque chose, d e réel, venant de Thomas, dont la moindre notion de confiance,  vis-à-vis de lui, à présent, se trouve comme ce fut déjà le cas, malheureusement trop souvent, parfaitement anéantie…..

   Dans l’hypothése, où il s’agirait, d’un erreur de votre part, ou d’une maladresse, je ne saurai trop vous recommander, d’y remedier, par un démenti, car visiblement, il semblerait, que votre attutude, dans ce cas, qui s’apparente, precisement, aux pires comportements d’un magazine people,  ne puisse que me mener, moi, à ne cultiver dorénavent, que le silence, radio, télé, redactionnel, et videaste……

    Compte tenu des valeurs, que j’ai moi, toujours défendues, il semblerait bien que les mots, VERITE,  CONFIANCE, et DIGNITE HUMAINE, vous soient à vous, comme à tous les autres, des notions qui soient non seulement, parfaitment meconnues, mais aussi,  diametralement, opposées, en tout cas, à celles, avec les quelles, je fonctionne moi, ce qui me navre….

 

     Je ne vous salue pas, et j’ai le regret de vous informer, qu’au grand jamais, je ne souhaite,  de quelque façon que ce soit, désormais, travailler avec vous.



Françoise Niel Aubin

Version imprimable | Actualités | Le Mercredi 05/02/2014 | 0 commentaires | Lu 534 fois



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