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Les gens du fleuve.

C'est une émission, que j'ai regardée hier soir.

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tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/television/83143/les-gens-du-fleuve-france-3-part-a-la-decouverte-de-l-amazone.html

www.france3.fr/emission/les-gens-du-fleuve/diffusion-du-08-08-2014-20h45

Les gens du fleuve.

 Avertissements.

   Je tiens d’ores et déjà,  à préciser certaines choses,  à l’intention  de tous ceux,  qui dans le milieu de l’audio visuel, ou d’ailleurs, qui peut être s’impatientent, ou ne comprennent pas, que je ne me manifeste pas plus, que cela, ou bien qui ne comprennent pas, que je ne suive pas plus leurs travail, alors, qu’ils sont précisément dans la même dynamique que moi, enfin, « que nous », pour être plus clair.

   Cette remarque vaut pour certains sites internet, associations, dont l je suis pourtant abonnée, à la newletter,  et dont je ne prends pas même le temps de les lire…..

    Si je ne prends pas le temps, ça n’est pas une forme de mépris, vis-à-vis de vous, mais uniquement, que je suis sollicitées, sur une quantité de fronts, extrêmement large, et que par conséquent, je n’ai pas d’autre alternative, moi, que de devoir trancher, dans le vif, pour tenter d’être moi  la plus efficace possible.

    Ainsi souvent, je lis certaines choses, certains articles, qui peuvent sembler ne rien avoir à voir, avec  certaines causes, qui me sont les plus chères, qui aux yeux, de n’importe qui, sembleraient anodines, ou inintéressantes, alors, qu’à mes yeux, c’est par un travail de synthèse, que précisément, par des recoupements, moi, je parviens effectivment, par toucher ce que je  veux, c'est-à-dire, « sensibiliser, certaines personnes », dont les principaux acteurs  politiques  justement,  et que mon fonctionnement intellectuel, en déroute, peut être quelques uns.

   Je précise cela, simplement pour expliquer, que cet « évitement », n’a pas pour but, de blesser qui que ce soit,  ou qu’il soit la signification, d’une forme d’indifférence, mais n’est du qu'au fait, qu’une journée ne fait que 24 h, pour n’importe qui….. Et que pour moi  il en va de même .

   Cette remarque vaut tout autant, est il besoin de le préciser, pour tous ceux, qui travaillent à France Télévision, et ailleurs,  dans les medias.

 

L’émission d’hier soir, l‘Amazonie.

 Il est bon de préciser, que cette émission traite, du fleuve, côté Pérou, et pas côté Brésil.

   En fait, je dois bien admettre  que ça modifie  quelque peu  certaines idées reçues  caractéristiques  de mon ignorance  qui est bien grande,  sur certains aspects, que je ne percevais pas….

 La notion de superficie, notamment je pense, est vraiment sous estimée….

   Je sais fort bien que chacun fait de son mieux, partout, dans les medias, pour que ça soit le cas, le moins possible, mais je dois dire qu’à chaque fois  pour moi, c’est une véritable préoccupation.

 Je pense qu’il faut veiller, « plus encore », à faire passer ce message. J’ai bien noté, que ça a été fait, « tant de journée de pirogue », notamment, moi, m’a pas mal marqué,  même fait sourire, je dois dire, puisque j’ai déjà fait  cette remarque, auparavant  alors, je me suis dit « OK, ils ont bien fait gaffe ».

 Mas je pense que ça n’est pas encore assez ! mdr…

   Et oui dire « ça fait tant de fois la France » notamment,  par exemple,  est nettement insuffisant,   il faut  accentuer  cela,  bien plus encore,  quitte à en faire un sketch ( je ne donne pas d’ordre sur le sujet, mais enfin, comme je vois de « bien vaillants petits soldats de l’humour », qui sont en mal d’inspiration,  je me  risque donc à donner des ordres, enfin…. Si,   après tout, oui, « je donne des ordres », n’ayons pas peu des mots, puisque c’est bien de cela, dont il est question.

    Il fut un temps, où  la nouvelles  scène de l’humour, prenait tellement d’importance, dans les medias, que certains politiques, y trouvaient ombrage… Alors, avec Laurent Ruquier, on avait décidé, de mettre un peu la sourdine, pour finir par s’apercevoir, que tout compte fait, il était plus judicieux, d’y revenir….

    Et là, quand on voir le mal  considérable que tout les acteurs, de l’écologie se donnent pour faire entendre leur message, je vois que décidément, à par foutre véritablement les pieds dans le plat, je ne vois pas, ce que l’on peut faire de plus, alors, « allons y gaiement ».

   Mais sur la méthode « HUMOUR », j’en reparlerai, et travaillerai le sujet, en un autre lieu.

 pour ce qui est du fait, de bien restituer, effectivement, le sentiment d'immensité, due à la superficie concernée, je pense que c'est indispensable entre autre pour une raison tres importante c'est qu'aux yeux du monde jutement "loin des yeux loin du coeur" si cette maxime vaut pour les humains entre eux, elle vaut tout autant, pour la relation, qui peut exister, entre un pays, un continent, ou une quelconque contrée lointaine, en gros "c'est pas chez nous, alors.....".

   Une grande tante, disait ainsi, au milieu de la motité du siecle dernier, à ma maman, quand elle était petite "ha, ça vient des Ameriques, ils peuvent bien nous raconter ce qu'il veulent, de toute façon, ils savent bien qu'on ira pas verifier".

 mais là, où quelquefois, ça peut sembler sans importance, parce qu'ils s'agit de choses, futiles, ailleurs, ou pour d'autres raisons, il peut s'agir, comme c'est le cas, de l'avenir de la planete, ce qui du coup, rend l'anecdote ou la perception qu'on a du reportage ou du probleme infiniment plus problematique.

     Pour l’heure, j’ai  moi, pas mal de choses, enfin, d’idées, je veux dire, ou de remarques qui me viennent, suite à ce superbe, et on ne peut plus efficace reportage.

    Il est déjà  arrivé que sur France 5, un reportage ait traité, du problème des agriculteurs,  qui s’accaparent la  forêt,  dans le but de la raser, pour y produire, de l’agriculture intensive, huile de palme notamment, ou élevage intensif de  bétail,  sans que quiconque n’y trouve à redire, et encore moins, le gouvernement brésilien.

  Il trouve d’autant moins, à redire, bien sûr, que d’une part, la conscience écologique, au Brésil, à plus forte raison,  sur les lieux même du massacre de la forêt,  n’existe absolument pas, et que les propriétaires terrains voyant l’etat autoriser sans le moindre scrupule le massacre par les grands barrages, ils n’ont eux, aucun scrupule à avoir, pourquoi, et au nom de quelles valeurs, en effet, être comme on dit, chez nous « plus royalistes  que le Roi »….

 Au Pérou, donc, il semble qu’il en soit tout autrement.

 Ainsi, au Brésil, par exemple, certaines tentative, de routes, sont effectivement tentées,  ne serait ce que pour la logistique, des grands barrages, le reportage, sur France 5 était vraiment édifiant, sur le sujet.

   Au Pérou,  donc,  il semble, que la conscience écologique, soit infiniment plus présente, et donc,   encouragée, et mise en valeur, sur place dans des initiatives personnelles , et professionnelles.

 Ce qui moi, m’a marqué, c’est de voir, que précisément, la volonté de désenclaver des zones, parfaitement inaccessibles, jusque là, n’ait pas généré, le désir de goudronner, mais au contraire, se soit adapté, au fleuve amazone, et à ses affluents……

     La meilleure preuve en est, que les bandits de grand chemin, l’utilisent, eux aussi, pour faire transiter le bétail, volé, afin de l’évacuer.

   Il ne réside absolument aucun doute, sur le fait que ces « bandits de grand chemin », sont « des gens du cru »,  et donc parfaitement, au courant, et en osmose, si ce n’est avec la loi au moins, avec leur environnement.

   Je dois dire que j’ai énormément apprécié, le passage,  sur les buffles, avec les soldats, qui les chevauchent, et j’ai grandement souri, en pensant à mon paternel, qui aurait adoré, ce reportage.

   Nous n’avons pas eu droit, encore à la traque des voleurs de bétails, montrant, les gendarmes, ainsi, chevauchant, leurs buffles, mais je pense que l’imagination de chacun, saura pallier à ce manque.

  Je précise que disant cela je m ne me moque absolument pas je suis au contraire, extrêmement admirative devant la farouche adaptation  de l’état péruvien à une végétation et un environnement, dont le moins qu’on puisse dire, est qu’il donne du fil à retordre.

    Pour précision,  sauf erreur de ma part, et qui n’est pas précisé, c’est que le buffle, comme une espèce de bovin que nous avons, ici, en Normandie, dans les boucles de la Seine, ou bien en Asie, ont la particularité, de présenter des sabots  plus larges, et donc sont adaptés  au déplacement  en zones, humides, boueuses  ou  marécageuses.

 Je vois donc, que le gouvernement péruvien , a su montrer la sagesse, devant les pressions qui ont du, se faire sentir, pour créer je suppose, des routes, qui auraient défiguré, la forêt……

 Je pense, moi, si tel est le cas, qu’ils sont eu parfaitement raison.

   Le fleuve amazone est de toute évidence,  LA VOIE DE COMMUNICATION  par excellence  qui non seulement  respecte la forêt mais qui  couplée  aux nouvelles technologies, peut parfaitement permettre  une meilleure desserte  des zones les plus difficiles d’accès, notamment, pour les peuples, qui souhaitent continuer à y vivre.

   J’ai vu, le rôle fondamental, de l’hydravion,  je pense que tout le monde a à gagner, de voir répandue, cette pratique , mais peut être que aéroglisseurs, ou que d’autres bateaux, plus adaptés aux fleuves, avec des méthodes de propulsion plus écologiques, devraient être étudiées.

    Pour ce qui concerne, les initiatives, individuelles relatives aux créations d’hôtels  etc, il est très important, que le gouvernement, veille, absolument à ce que des trusts touristiques, ne viennent pas spolier cette nature,  dont l’aspect absolument écologique, doit être, la premier souci….

 Ça ne signifie pas que ça ne puisse pas être envisagé mais les exigences sur le plan écologique doivent être absolument drastiques.

 Je pense notamment, que l’indépendance énergétique, doit être le premier souci, de telle sorte, que  des raccordements électriques, n’aient pas lieu d’être nécessaires.

 Oui, j’en vois certains, me die alors, « et bien faite un barrage, alors ».

 Mais bien sûr, suis-je bête…

    Aujourd’hui, on est capables, de faire de l’électricité, avec bien d’autres méthodes, que de bousiller un fleuve,  sa faune, sa flore, ses habitants,  avec des projets de barrages, dont la mégalomanie,  est proportionnelle,  à l’inconscience écologique  des puissants, des pays concernés, par ce problème des grand barrages.

    Au sujet des peuples autochtones, je tiens à préciser, pour ceux, qui n sauraient pas encore, que j’ai pas mal travaillé, déjà  à tenter de trouver des solutions,  pour ces peuples,  puissent pour certains,  trouver un moyen  de subsister  dans cette forêt.

    Mais il est bien évident, que le problème doit être appréhendé, de façon  bien différente,  selon que les indiens,  sont persécutés, comme au Brésil, ou qu’ils ne le sont pas, ou le sont moins, dans  d’autres pays, qui ont celle particularité  de détenir  ce formidable trésor  de l’Humanité, qu’est cette Forêt Amazonienne.

    Ainsi, je ne sais même plus  si ce travail, est sur mon blog ou pas, je sais juste qu’il a été transmis,  au personnes  concernées, et donc  communiquées  aussi   aux journalistes, qui ont fait  ce reportage.

    J’ai bien noté, que le petit oiseau avec la tête rouge , marchait, sur le côté de la branche, pour sa parade ni nuptiale, alors, que le guide, qui accompagnait, le groupe, de jeunes hommes, dans un stage  de survie, recommandait, lui aussi, de marcher, sur le côté, quand il traversait, le cours d’eau, quelle intelligence, d’avoir ainsi, fait ce rapprochement.

    Ceci, dit, je note malgré tout et c’est l’une de mes terribles déceptions, concernant ce reportage, je suis extrêmement déçue, je dois dire, que de Piou Piou en question, n’ait pas ainsi, sur sa branche, dansé la saint Jeannaise……. Et je ne sais pas si je m’en remettrai un jour ! mdr.

    Plus sérieusement je dois vous raconter un truc, qui m’est arrivé, ici, dans ma petite maison, en Normandie.

    La scène se passait, il y a plusieurs mois. Mon ordinateur, se trouve, tout prés d’une fenêtre, assez basse.  Ainsi souvent, je vois des insectes, ou diverses petites bestioles, plus rarement  des oiseaux, qui se posent, sur quelques brindilles, ou branches, qui se trouvent là, vu que tout est resté sauvage, ici, donc, tout près de la fenêtre, aussi.

    Je vis d’un seul coup, un très bel oiseau que jamais, je n’avais vu, de ma vie, ici, en Normandie, à un mettre environ, de ma fenêtre, o un oiseau pareil, non, vraiment.  Sur le coup, pour être franche, j’ai cru, à une farce, dont je sais que quelques uns sont parfaitement capables …. Enfin, bref, tellement étrange, je dois dire, que j’ai appelé « le Chêne » à Allouville Bellefosse, pour leur demander.

   Il s’agissait, en fait, d’un bouvreuil, je ne connaissais absolument pas, puis on m’a précisé, « et bien vous êtes drôlement chanceuse,  parce que c’est bien un oiseau  de chez nous, mais en voie de disparition ».

 

     Deux jours plus tard, il y a une demi heure environ il sont revenus, le mâle et la femelle je suppose pour que je vienne finir mon travail de rédaction, je suppose.

 Pour ce qui concerne les barrages sur l’Amazonie j’ai eu des nouvelles sur mon mur FB, c’est ici :

http://raoni.com/actualites-802.php

 Je vous rappelle la petition, au sujet du crime d'ecocide.

iecc-tpie.org/

 Comme vous pouvez le voir au Pérou, aussi, il y a des barrages qui sont donc prévus.

    Mais sans pouvoir, moi, me prononcer, puisque je n’ai pas les éléments en main, il semble bien effectivement, que le gouvernement péruviens, soit mieux intentionné et surtout plus soucieux, de sa forêt, que ne l’a est le gouvernement brésilien.

 Pour en revenir au reportage, « les gens s du fleuve »,  j’ai bien noté aussi, le stage de survie organisé au cœur de la forêt, et j’ai trouvé ça vraiment, très interpellant.

 Il se trouve que beaucoup de jeunes, partout, dans les villes je crois, plus que dans les campagnes, sont quelquefois confrontés, à un problème existentiel, au moment de l’adolescence.

 J’ai déjà abordé ce problème à de multiples reprises,  en faisant le parallèle avec le rite initiatique,  chez les peuples autochtones.

 Je pense que les gouvernements et pas uniquement ceux qui ont le privilège, d’avoir sur leur sol des forêts  vénérable  et emblématiques, mais aussi n’importe quel paysage sauvage d’organiser des stages de survie,  en fait, de pratiquer, le survivaliste,  précisément pour aider ces ados, en maque de repaire à mieux se comprendre et tester leurs limites, en toute sécurité.

   Je précise que le but  n’est pas de promouvoir  une idéologie catastrophiste, avec des armes, pour prétendre préparer des gens à la fin du monde, ou une quelconque connerie de ce genre non, le principe, ne consiste qu’à proposer, aux ados, ou autres personnes, en manque de repaires, ou qui traversent une passe difficile, de faire ces stages,  afin de revenir, à des valeurs de solidarité et de groupe, que nous n’aurions jamais du perde. 

    Le gros avantage aussi, de ces stages va être que ça va permettre aussi, de  créer des emplois, auprès de populations qui connaissent le mieux la forêt puisque ce sont eux et personne d’autres qui devront occuper, ces postes  et présenteront ainsi, l’énorme avantage   de  se réapproprier, la forêt culturellement, et aider ainsi, à une meilleure prise de conscience relativement, à sa véritable valeur, pour l’Humanité, toute entière.

    Je crois, pour ma part beaucoup à une meilleure exploitation du fleuve Amazone, comme voie navigable mais peut être, serait il souhaitable, que de nouveau bateaux soient inventés pour répondre à une demande dans des régions reculées, plus adaptées.

   Etant donné que le fleuve fait des lacets enfin des méandres assez considérable peut être que des trajets, mi route mi fleuve avec des engins, amphibie, seraient une bonne solution.

   Je propose celà, parce que j’ai bien compris, que la notion de distance, était un problème véritable, notamment en ce qui concerne, l’accès à la santé dont visiblement, le gouvernement péruvien, semble, effectivement réellement  se soucier.

    Pour ce qui concerne les peuples autochtones, en général  je pense moi, qu’ils devraient aussi, conformément à ce que certains d’entre eux font  depuis longtemps, redéfinir, et développer, leur artisanat,   de telle sorte que leurs revenus soient assurés de façon plus sereine, pour que leurs enfants, puissent être scolarisés si tel est leur désir.

 Je pense moi, que de revoir leur commerce via les plate forme équitable serait un bon moyen aussi, de modifier de façon positive, la perception, que les autres peuples des villes en ont.

   Je prétends celà, parce que je sais, notamment qu’au Brésil c’est un problème  assez prégnant car beaucoup de brésiliens n’ont absolument aucune conscience écologique, et à plus forte raison, quasiment aucune conscience de se qui se joue, là bas et des peuples qui  vivent là bas et sont menacés d’extinction.

   Pour ce qui concerne l’exploitation de leur bois, eux pourraient parfaitement, en exploiter certains, particulièrement précieux,  mais a dose homéopathique comme certains bois précieux comme pour fabriquer des objets ou des bijoux.

   Je rappelle que les indiens d’Amazonie, sont eux aussi, parfaitement capables, d’apprendre à utiliser certaines machines, pour la transformation de certains bois, de LEURS FORÊTS je pense notamment à un galet de montre que je voulais m’acheter, fait de bois précieux, avec la montre incrustée dedans et je propose, que des fabriquant de montre suisse se mettent en relation avec planète amazone pour mettre sur pied, cette collaboration, dont je n’ai rigoureusement aucun doute sur le fait que les choses, seront rondement et honnêtement menées.

 Une autre, chose, qui est envisageable, c’est de prévoir, en différents endroits, de la forêt des jardins, où seraient cultivés en un seul endroit certaines plantes qui sont par définition difficile à observer dans la nature, car trop éloignées les une des autres…

 Par définition, la forêt amazonienne étant difficile d’accès,  et relativement, impénétrable, et s’il devient envisageable, d’y développer un tourisme, respectueux, de l’environnement, et des peuples autochtones, alors il serait bon, de prévoir, ce type de jardin qui ne d  ferait que compenser, l’inaccessibilité de la forêt.

   D’ailleurs je vais de ce pas,  par le biais de planète amazone, demander aux  écologistes brésiliens s’ils peuvent commander un sondage, sur la connaissance ou méconnaissance que les brésiliens ont de la forêt  amazonienne et je vais même pousser le bouchon, jusqu’à  rédiger le sondage.

   Je pense que ces sondages devrait être fait si possible dans tous les pays, qui sont concernés par la forêt amazonienne pour donner ensuite cette info, sur les medias nationaux  et internationaux.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



Françoise Niel Aubin ,

Version imprimable | Actualités | Le Samedi 09/08/2014 | 0 commentaires | Lu 639 fois



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