Mots-clés : Feu de st jean, Goupillières(76).
Oui, enfin, excepté, pour leur nom, mais comme le vie religieuse, ponctuait la totalité de la vie à la campagne, c'est bien logique.
Le solstice d'été correspond au moment, où sur le calendrier les jours sont les plus longs. Ensuite, les jours recommencent à raccourcir chaque jour, lentement. Mon père était tres ensible à ça, ça lui servait pour se remonter le moral, l'hiver notamment.
Certains attribuent aux solstices des vertus magiques, et je ne suis pas spécaliste, pour me permettre d'en discourir, mais je trouve que la simple explication, relative au calendrier, qui donc, "sonne", une modification progressive, de la longueur du jours, est en soi un argument parfaitement recevable, pour que cette fête, par sa symbolique, existe toujours.
Dans le village, où je suis allée à l'école, depuis cette année, existe une nouvelle association, qui s'appelle "les goupillons", quia pour objectif, e créer des activités, pour animer le village.
Cette année, donc,a eu lieu, un feu de st Jean.
Une formule que j'ai deja vue, aux alentours, dans les petites communes, consiste à apporter son pique nique, represente une occasion de serencontrer, partager le pique nique avec son voisin, tout en restant parfaitement abordable, pour les foyers les plus restreints, je trouve que c'est une excellente formule.
Il y avait, gratuit, aussi, des jeux en bois, ainsi qu'une tombola, qui faiait gagner des lots, tres intrressants, comme des tickets d'entrée, pour des parcs d'attraction, pour des loisirs, environnants. (CERZA à LISIEUX).
www.cerza.com/
Pour information, il y a 20 ou 30 ans, on faisait les feux de st Jean, avec des vieilles souches, pour s'en debarrasser.
là, je trouve que c'est un peu dommage que ces palettes aient été sacrifiées, alors, qu'elles auraient pu servir, pour ête recyclées, en bricolage.
Et pendant qu'on y est, je vais vous montrer la salle de classe, que je suis alée photographier, la semaine dernière.
Alors, ici, il y avait un buffet jaune clair, et sur le rebord, chaque fois, enfin, deux fois par jour, j'apportais à la maitresse, un petit bouquet de primevéres, qu'elle posait sur le bord.
Ici, il y avait le poêle à fuel, avec un encadrement, en feraille, comme un grillage tres epais, pour ne pas qu'on se brûle, et on devit aller chercher le fuel, dans la cour, pour remplir le reservoir.
J'ai d'autres photos enfi, quelques unes, mais j'ai un souci technique.
en cours d'écriture.
Françoise Niel Aubin Feu de st jean, Goupillières(76).
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