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La Walls à deux temps.

C'est le grand Jacques, qui doit trouver ça curieux.

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  Merci, pour le jeu de mots, suggéré par le journaliste de France 2…. (suggéré  par moi, il y a pas mal de temps, il me semble, non ???)…. Désolée, je cuisinais, alors, je n’vais que le son, je n’ai pas vu de qui  il s’agissait.

    Ne manquait que l’opportunité, il me semble, pour que le bon mot soit sorti à bon escient….

 Alors, voilà, Moi, qui fut consulté, comme depuis le début de l’élection, de François Hollande, pour chaque changement de gouvernement, mais surtout, pour le choix du premier ministre….

   Je me gratte le menton, en essayant de comprendre, ce que Manuel Valls, cherche à atteindre comme objectif…

 Certes, monsieur « aime m’entreprise »…

 Moi, aussi, je le dis haut et fort, « J’AIME  L’ENTREPRISE ».

    Mais mon petit doigt en l’air, entre deux, rangs de point mousse, torsades, point de blé, d’orge d’avoine, de céréales,  pour la petite histoire, je rajoute une maille, après la quatrième , une fois les côtes  terminée, et ce, tous les dix rangs, pour assurer l’augmentation,  au fur et à mesure, que la manche progresse, vers l’épaule, et j’obtiens, ainsi, un liseré parfait…..

    Veuillez, m’excuser, pour  cette coloration  tricoteuse, mais je ne voulais que faire la démonstration, de ce que le mot entreprendre signifie, pour le cas, où notre premier ministre, aurait perdu, son dictionnaire étymologique…. A moins que ce soit monsieur Macron, qui ne  le lui ait volé, pour  caler son bureau….

   Là, telle que vous me voyez, j’ai l’intention d’entreprendre, de rédiger un texte, sur la nécessité, de créer la VIème République, vous voyez ?

   Dans pas moins  d’un quart d’heure, je vais entreprendre, de faire chauffer de l’eau, pour me faire un bol de thé…..

    Quand je dis que moi, J’AIME L’ENTREPRISE, je ne plaisante pas, moi, et surtout,  de toute évidence, je ne l’aime pas,  pour les mêmes  raisons, que l’aime Manuel Walls, c’est une évidence.

   Mais je dois reconnaitre, que c’est de ma part, un abus de langage, que je me garderai à présent, de pratiquer .

   J’aime l’homme que j’aime, j’aime mes enfants et ma maman, j’aime me promener, mais non décidément, non, je n’utiliserai plus le verbe AIMER, pour des structures, qui soit dit en passant, par les temps qui courent, ont tendance, elles, à précisément, beaucoup moins AIMER les humains.

    Pour moi, une entreprise, n’a de raison d’être, que si elle fait partir d’une économie, qui n’a pour seul et unique objectif,  que d’être au service de l’humain…

    D’une part, par les salariés  qui y travaillent, et d’autre part  parce que  les produits, ou services, qui sont les fruits, du travail de l’entreprise, permettent, d’une façon, ou d’une autre, de proposer, réellement, un service, ou un produit manufacturé, ou que sais je s  qui soit véritablement, au service des humains…..

  Quand on parle de l’entreprise, de façon aussi é « amoureuse », quasiment, que s’il s’agissait,  d’une entité, charnelle, je pense, qu’effectivement,  Manuel Walls, et monsieur Macron, seraient bien inspiré, de revoir les fondements même du c  socialisme, eux aussi…

 Il fût  un temps, il y a quelques semaines, où c’était moi, qui tenais ce discours, aux frondeurs, mais je vois que visiblement, certains seraient bien inspirés  de s’y coller aussi.

 Car enfin, où réside le problème ?

 Le problème réside simplement, dans le fait,  que ces énarques, visiblement, n’ont absolument aucune notion, de ce  que représente, le fait, d’être demandeur d’emploi….

 Je suis d’en bas, moi, vous comprenez ?

   Je n’ai jamais touché, la moindre allocation chômage, pour information, mais dans le milieu qui m’a vu naitre, encore, aujourd’hui, j’ai des neveux, et nièces, qui sont allocataires.

   Et s’il arrive, que certains, pendant quelques mois, les percevant, « ne cherchent pas », c’est simplement, parce que depuis des années, et des années, et bien ils accumulent, les CDD, comme on enfilerait des perles, et que prenant un nouveau porte, à chaque fois, ils se retrouvent, à devoir zapper, régulièrement, leurs congés….

  Quand il laisse son emploi,  en fin de contrat, son employeur se dit que de toute façon, une fois le contrat terminé, « il va pouvoir se reposer », donc, ne lui accorde pas s de congés…

 D’autant plus que considérant le fait, qu’on lui fait miroiter qu’on va convertir son CDD en CDI, vous pensez bien, comme on dit vulgairement, « c’est pas le moment de  demander des congés »….

 Et ensuite, il passe dans une autre boite, pour un autre CDD.

   Et oui, quand vous venez  de signer un contrat, le directeur, qui lui, revient de vacances, voit plutôt d’un mauvais œil, le fait, que ce nouvel employé, avant même  d’avoir commencé à bosser, demande des congés…..

   Je connais plusieurs cas, comme ça. Au bout de plusieurs années,  de ce régime, qui ne parvient pas à déboucher, sur  un CDI, il est alors parfaitement cohérent, que le salarié, pour se préserver, s’accorde, quelques mois, de temps en temps, pour prendre du recul…..

   Mais pour être franche, j’ai beaucoup de mal, à imaginer, autant l’un que l’autre, à a voir du supporter, ce type de problématique, le stress qui s’en suit, et les conséquences psychologiques, qui sont la résultante, du statut de chômeur.

   François Hollande a d’ailleurs mis sur pied, le droit rechargeable, à l’allocation chômage, ce qui est une excellente chose.

http://www.lexpress.fr/emploi/allocation-chomage-ce-qui-change-au-1er-octobre_1579468.html

Cette mesure  entre en application, au premier octobre de cette année.

    Je pense moi, qu’il ne faut rien changer aux allocations chômage, telles, qu’elles sont, peut être contrôler plus, mais pour ma part, je ne pense pas qu’il existe tant de fraudes que celà.

 Il est un dicton, qui dit « quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage », et quand on sait que le patronat, par définition, est beaucoup plus de droite, que de gauche, et que l’on voit, comment sont tenus les comptes, à l’UMP, franchement, excusez du peu, mais c’est juste à pisser de rire…..

    Je suis pour ma part, profondément choquée, que Manuel Walls, et  monsieur Macron, puissent tenir, de tels discours, ça démontre, simplement, une méconnaissance absolue, des souffrances psychologiques  et sociale, relatives au statut de chômeurs….

    Savent ils, que ces travailleurs précaires, se voient refuser, des prêts ? Un logement, ou quoi, que ce soit, qui puissent leur fournir, effectivement, une forme de stabilité ?

 Le savent ils ? Non, visiblement, ils n’en savent rien, c’est juste une évidence.

   Il y a une chose, qui devrait être faite, qui satisferait les patrons, et qui ne présenterait rigoureusement aucun problème, je pense, du côté des salariés, qui consisterait, à reculer, le nombre de salariés,  à partir duquel, le patron, a de nouvelles obligations,  d’ordre sociales, je crois que le chiffre est de 40 salariés.

 J’ai vu plusieurs reportages  sur le sujet…

   Ça ne signifie pas, que ce chiffre, doivent sus systématiquement, passer  de 40 à 50, je serai tentée de dire « sans autre forme de procès », mais je pense qu’il faut aller en ce sens, sans pour autant, je tiens à le précise, que la démarche syndicale  soit méprisée, comme bien des patrons, seraient tentés de le faire.



Françoise Niel Aubin ,

Version imprimable | Actualités | Le Dimanche 12/10/2014 | 0 commentaires | Lu 1501 fois



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