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"Directeurs artistiques","critiques", même combat !

j'aimagine la tronche, des uns et des autres, en lisant celà.

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 Et je dois dire qu'à 12H13, c'est "ma foi", un apperitif, tout à fait satisfaisant.

Bon, là, je vais tailler un costume, comment dire, "bien taillé", au moins autant, que peuvent l'être, les magnifiques tenues de soirées, et robes diverses, de la collection, Louis VUITTON automne 2013, dont je suis l'inspiratrice, à la confédération des DIRECTEURS ARTISTIQUES , toutes sections artistiques confondues, et je peux vous dire, qu'il sera rigoureusement impossible de vous cacher dernière la porte, parce que j'irai moi, Françoise Niel Aubin, vous chercher par le fond du pantalon, de la façon, la plus autoritaire, et la plus décidée, que vous ne pouvez imaginer.

Que je m'en trouverai mieux, moi, ensuite, ne fait aucun doute.

VOUS par contre, j'ai de sérieux doutes, je ne vous le cache pas ! Mais pour être franche, je m'en bas les couilles, que soit dit en passant, je n'ai pas, mais à un point que vous ne sauriez imaginer !

 

Directeur artistique, dans les années 2010.

J’ai oui dire, il y a quelques années, dans le milieu de la musique, c’est-à-dire, les labels, qu’ils soient gros, ou pas gros. (on ne parle pas du poids du cochon, là, on est bien d’accord), que les directeurs artistiques, voltigeaient, comme un intérimaire, à proximité du pôle emploi.

A quoi sert donc, un directeur artistique ?
On peut se le demander, en effet.
Dans la réalité, j’entends, et pas dans ce qu’on pense qu’il sert, « en théorie ».
C’est un titre ronflant, que celui là, « on est bien d’accord ».
Pour en jeter, ça, ça en jette, on ne peut pas nier.

Aussi, moi, depuis des années, je ne sais plus quand, d’ailleurs, j’ai postulé, en divers endroits. Des labels, de musique, uniquement. J’ai bien vite compris, qu’à cette époque, et je ne sais pas où ça en est, je n’étais bonne précisément, qu’à les nourrir, EUX, mais surtout pas, d’être embauchée comme telle.
PENSEZ DONC. Puis que ‘elle est assez conne, pour se faire tondre la laine sur le dos, on ne voit vraiment pas, pour quelle raison, on se priverait.
Alors, bien sûr, les directeurs de label, eux, n’y sont pas allés, par quatre chemin, et leur ont dit « et bien, oui, c’est vrai, vous regardez, par où elle, montre la voie, et vous vous engouffrez dedans, donc, n’importe qui peut le faire ». D’où une terrible dépréciation, du statut de directeur artistique, qui s’en est suivi.

« Ha la la, comme elle est méchante ».
Non, je ne crois pas, « juste parfaitement réaliste ».
Je précise que je n’ai pas vraiment, un énorme grief, face à ce comportement, nous dirons simplement, que les directeurs de label, ne sont que des gros cons, qui ne pensent qu’à un truc, « faire le plus de pognon possible, en dégottant, les talents de demain ».
Et pour ça, à qui, fait il appel ?
Au directeur artistique, bien sûr, dont, en fait, c’est le seul et veritable boulot.
Parce que pour ce qui concerne le reste, permettez moi de vous dire, qu’ils ne décident de rien, en gros, qu’il n’en glandent pas une !
Et oui, savez vous QUI est le directeur artistique, d’un artiste, si ce n’est QUE et strictement, QUE lui même…..
Et oui, le cas est flagrant, là avec Thomas, pour son dernier disque, d’ailleurs…
C’est lui, et lui seul, qui a décidé, en désaccord parfait, avec son copain, et soit disant, directeur artistique, ce qu’il a fait, pour son disque. Thomas, décide, d’absolument tout, et c’est comme ça, que ça devrait, systématiquement, se passer.
Au mieux, dans l’hypothèse, ou le directeur artistique, est fin psychologue, il est capable d’aider l’artiste, à accoucher, si c’est difficile, ou qu’il ne va pas bien…. Mais objectivement, il n’a aucun autre pouvoir, à part celui d’appeler Thomas, ces dernières années, pour qu’il vienne bouffer, à NOTRE râtelier.

Je pense moi, en fait, que les directeurs artistiques, le plus souvent, comme certains critiques, sont des artistes non assumés, je dirai même parfaitement refoulés, mais comme c’est plus confortable, d’être salariés, ils tentent le coup, en bossant, sous un label. Mais un directeur artistique, qui a des couilles (y compris, pour les femmes), il EST artiste, il ne se contente pas, d’occuper ce statut-là.
Bon, voilà, « ça, c’est fait ». Donc, en gros, je pense que dans leur grande majorité, les directeurs artistiques, sont des couilles molles.
Si je suis aussi amère, dans mon jugement, il est bien évident, que la spoliation intellectuelle, de mes talents, à moi, sur ce point, y est pour beaucoup, et que si ça défrise, qui que ce soit, « le débat est grand ouvert, je ne demande, moi, qu’à trouver une opportunité, de changer d’avis ».

Et à la question, « Suis-je le directeur artistique, de Thomas Fersen », la réponse est catégorique.
Je l’ai longtemps été, ces dernières années, et pas que de lui, comme vous le savez, mais pas pour le dernier, là, car c’est lui, et lui seul, qui l’est, mais absolument pas moi, et encore moins, Vincent Frerebeau !
Comme quoi, vous pouvez constater, que je suis moi, parfaitement lucide, et honnête, sur le sujet.
« prenez en de la graine ».



Françoise Niel Aubin ,

Version imprimable | Actualités | Le Samedi 12/10/2013 | 0 commentaires | Lu 577 fois



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