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La génétique, au secours des obèses. CHIRURGIE ESTHETIQUE.

C'est un laboratoire Suisse qui a fait, cette decouverte.

Mots-clés :


www.tdg.ch/savoirs/sciences/Un-gene-contre-l-obesite-decouvert-a-lUNIL/story/30962264

 Je trouve ça, absolument passionnant.

 Mais interpellant, aussi, à plusieurs titres.

 Je suis la premiere, moi, à être contre toute manipulation génétique.... Mais je suis POUR la recherche génétique, en ce qui concerne, les maladie, qui en relévent.

 Mais là encore, sur le plan éthique, il est bon de se poser la question, s'il est toujours souhaitable, de vouloir ainsi, "gommer" toute anomalie...

  Bien sûr, je précise ma pensée, loin de moi, de jeter la pierre, à quiconque, aurait recours à cette médecine, pour des raisons de santé impérieuses, et qui génerent une souffrance véritable.

 Mais ce que je veux dire, c'est que la frontière, entre le "moralement recevable", et la recherche du corps "indemne de la moindre maladie ou pathologie qui ferait simplement partie de sa personnalité", est une forme de frontière déonthologique, sur laquelle l'être humain, ne doit jamais cesser de poser son regard.

 Dans le cas présent, nous savons à quel point, nous sommes inegaux, devant l'obésité, et je sais de quoi, je parle....

   Grossir, rien qu'en posant son regard sur un gâteau, devant la vitrine d'un boulanger (je vous signale que ce que je dis, n'est pas une invention, mais la stricte vérité), alors que votre voisin, lui, s'il en mange 10, ne va rien prendre comme poids, reconnaissez que quelque part, il y a de quoi se poser des questions, ça ne fait aucun doute....

   Je précise celà, parce que je vois, moi, de quelle façon, du coté de la chirurgie esthétique, comment les choses ont ainsi évolué, de façon absolument dramatique...

   Il y a 20 ou 30 ans, quand une femme voulait de faire refaire le nez, ou quoi, que ce soit d'autre, la démarche était marginale, elle voyait un psy, qui l'aidait à determiner, si la chirurugie devait vraiment intervenir, ou pas.....

   Pour en arriver aujourd'hui, au fait que les femmes, obeissant, comme des imbeciles (excusez ma franchise), aux critères dictés par les revues feminines, à vouloir ressembler, à ce qu'elles voudraient, alors, que ce qu'elles veulent, c'est de toute évidence, autre chose, que de devenir elles même....

  Alors, j'entends bien, que côté chirurgie esthetique, la profession, a fait un mea culpa, semble t il, et que les dérives, purement mercantiles, parait il, vont être evitée, etc, j'ai bien entendu, celà....

   Mais imaginez vous bien, que si c'est quelqu'un, psy, ou pas, d'ailleurs, qui reçoit cette femme, pour juger si elle peut ou pas, ou si elle doit, ou pas, subir une chirurgie, j'ai de forts doutes, sur la sincerité de la démarche.

   Moi, je la connais la solution, sur le sujet, et croyez moi, les chirurgiens esthétiques, qui se font des couilles en or, sur la misère des femmes, leur bistouris, ils vont pouvoir se foutre où je pense, et je n'aurai aucun scrupule, moi, vous pouvez me faire confiance.

Françoise Niel Aubin

Version imprimable | Actualités | Le Jeudi 19/12/2013 | 0 commentaires | Lu 610 fois



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