Grève à la SNCF.

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Grève à la SNCF.

Depuis plusieurs jours, on entend les usager qui se disent pris en otage.

En regle générale, il est vrai que je suis moi, la première à reprocher aux usagers, de tenir un tel langage.

    Le droit de grève, est un droit du travail, et ne reagir que selon les problemes rencontrés, sans imaginer le moins du monde, que peut être, cette grève, soit effectivement justifiée, est pour moi vraiment irritant. Parce que c'est vraiment faire etat d'une forme de mépris, vis à vis des cheminots, et ça me contrarie.

Je suis allée aux nouvelles, là, pour pouvoir, prendre la parole histoie, d'un peu moins, passer pour une incompetante.

www.francetvinfo.fr/economie/greve/greve-des-transports/greve-sncf-quels-sont-les-points-de-blocage_621343.html

    Je tiens juste à rappeler, que le reseau féré, est appelé à se developper, de plus en plus, y compris, sur le plan internationale, avec une facilité de plus en plus grande, pour relier les principales villes d'europe.

   Vouloir parler de rentabilité absolument pour ce mode de transport, est une gageure, puisque le rail, pour les longues ditances, reste le moyen de locomotion, le plus sûr, et le moins polluant. Le fait d'en avoir conscience, devrait il me semble, inciter à plus d'attention, et à plus de bienveillance, vis à vis de l'entreprise.

    Qu'il faille reunir de nouveau, la SNCF et reseau férré de france est une absolue evidence. C'est quand cette séparation s'est faite, qu'il eut été plus judicieux de la ramener, et montrer votre desaccord.

    Aujourd'hui, comme pour l'entretien du materiel et l'entretien des voies, le retard accumulé par le gouvernement antérieur, comme pour les autres secteurs, impose une politique de rigueur, qui est absolument indispensable, et je ne trouve pas tres justifié, je dois dire, de voir de leur part, un tel entêtement.

   Quand je vois les usagers, moi, je ne vois que des gens paumés, des smicars (même s'ils ne le sont pas tous), mais des gens comme eux, comme les cheminots, qui ralent beaucoup moins, mais "qui souffrent", et ça serait bien, que cette souffrance, là, que je ne vois pas comme un statut d'otage, soit entendue, par les salariés, SNCF.