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Ebola, quoi faire ?

Je precise que je ne fais que donner mon point de vue, rien de plus, je ne suis pas medecin, mais certaines remarques, quelquefois peuvent aider à elaborer certaines stratégies.

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www.who.int/mediacentre/factsheets/fs103/fr/

EBOLA , quoi faire ?

 

   J’ai écouté les infos, ce midi, sur le sujet.  J’ai vu, ce prêtre, (images d’archives), qui vient d’être rapatrié, en Espagne.

   Sur les moyens de lutte, d’ordre médicamenteux, une mise au point était faite, par l’intermédiaire d’un médecin  de l’institut Pasteur.

    Actuellement, cette maladie, n’étant pas si récente que cela, mais son nouveau développement lui, l’étant, les chercheurs, depuis plusieurs années, que ce soit en Europe, ou aux USA, ont mis au point, certains traitements.

    D’habitude, l’OMS, recommande, à juste titre, un protocole extrêmement strict,  entre la création d’un vaccin ou d’un traitement, quelque soit la maladie concernée, ce qui est bien normal. Le but, étant de s’assurer, qu’aucun effet secondaire, ou autre, ne soit observé, et n’aille à l’encontre, de l’intérêt du patient, et qu’en tout cas, si ces effets, existent bel et bien qu’ils soient connus, et notés, sur les notices  accompagnant  les médicaments.

   Aujourd’hui,  en  Afrique, nous  avons devant nous, une épidémie, qualifiée,  par l’OMS, de,  je cite, « ors de contrôle ».

   Je considère donc, moi, que cette qualification, doit (et pas devrait), générer un protocole de « mise sur le marché »,  parfaitement raccourci, dans le cas présent, celui, de la fièvre EBOLA.

 « Pourquoi » ?

  Trois médicaments en sont actuellement  au stade de l’expérimentation  animale.

   Pour ces médicaments, où cette expérimentation  a prouvé son efficacité, je pense, moi, que les étapes classiques qui sont habituelles, doivent être occultées, et le médicament prescrit  aux malades .

    Il est important, à mes yeux, de bien expliquer, que le processus de mise sur le marché, a été effectivement écourté, parce que précisément, le risque  est devenu  bien trop grave, et bien trop important, pour pouvoir  se permettre  de prendre autant de précautions.

 Il n’est pas question, bien sûr, de jouer aux apprentis sorciers, d’autant plus que sur le sol africain, ça ne serait plutôt perçu à juste titre, de mauvais goût, et parfaitement deplacé.

 Mais bien de peser, le pour et le contre.

 J’ai entendu, hier, qu’une fois atteint, ou avait 95 chances sur 100, d’en mourir.

 L’être humain, est un mammifère, alors, moi, je pense que ça doit être tenté.

   Je propose, de faire signer une décharge, à chaque personne, adulte, qui dans l’hypothèse ou elle tomberait malade, ou n’ait quelque séquelles, de voir ainsi, l’OMS, écartée de toute poursuite, d’ordre juridique.

   Je pense d’autre part, que l’effet placebo, ne doit pas être écarté, il joue un rôle souvent, sous estimé, dans le processus thérapeutique, y compris quand   la maladie, n’est pas sensée comme c’est le cas, avoir une origine d’ordre psychosomatique.

   En gros, si je devais schématiser, si moi, j’habitais, une zone, qui tend à supposer, que je puisse me retrouver contaminée, et que ke  je le sois j’aurai tellement  emmerdé déjà, les médecins, pour servir de cobaye, qu’il m’aurait déjà, administré  le médicament.

   Pour information, moi, qui ai connu, il y a 5 ans environ, dans mon ancienne famille, un cas de Alzheimer, j’ai toujours dit, que si un jour, comme on dit vulgairement, « ça me tombait sur le coin de la gueule », je ferai le nécessaire, pour entrer, dans un protocole thérapeutique, et servir de cobaye, afin qu’au moins, ma maladie, et ma souffrance, puisse avoir servi, à soigner quelqu’un d’autre….

 En gros, crever pour crever, au moins, autant tenter le tout, pour le tout.

 Puis que ces médocs, ont marché, sur les animaux, et bien soit, soyons, au moins, pour une fois, à leur hauteur.

www.youtube.com/watch

   Je n'ai plus acces aux commentaires sous mes vuideos, mais je precise que suite à cette video, j'ai eu les reponses à mes questions.
 au sujet des inhumations, les cadavres, restetn tres contagieux, et l'OMS, rencontre de grosses difficultés, vis à vis es familes, qui veulent toucher, embrasser leurs proches, qui vient de mourir, fouiller leurs poches, etc, ce qui accroit considderablement, le risque de contamination.

   Pour ce qui concerne, la lutte naturelle, j'ai obtenu la reponse, là encore, au journal télévisé ce midi, il a bien té précisé, que certains patients, qui avaient un systeme imunitaire, plus fort, avaient bien plus de chance,d es'en sortir;, je pense donc, qu'il est raisonnable, de mieux veiller, si possible, au probleme de malnutrution, et de mettr en route, une aide, en phytotherapie, pour booster les defenses immunitaires.

   J'ai bien saisi, aussi, que contrairement aux precautions, que j'avais moi, prises, sur le plan politique, on nous a expluqé, que sans l'OMS, il n'existe à ce jour, aucun autre structure, qui sot susceptible, de soigner les populations.

www.lemonde.fr/europeennes-2014/article/2014/05/21/pour-jean-marie-le-pen-le-virus-ebola-peut-regler-en-trois-mois-les-problemes-d-immigration_4422584_4350146.html

 Samedi 16 août 2014.

  Je pense moi que le fait de voir resurgir ou surgir des maladies qui sont inconnues, n'est qu'un symptôme relatif au fait qu'on cherche trop  à s'éloigner de la nature alors, elle nous rappelle à l'ordre...
Il a été dit que l'origine pourrai être de la viande de brousse.

 Mais la viande de brousse, c'est de la viande d'animaux sauvages n'est ce pas ?

 Donc, "non contaminés par des produits ou perticides" , en théorie, non ?

 Alors, c'est illogique.

 Est ce que cette théorie peut être confirmée, ou pas ?

 Est ce que cette viande de brousse, était bien cuite ou bien les habitudes culinaires, sont telles, que la viande est cuite  de façon insuffisante ?

 Il serait  utile de communiquer de façon plus précise, sur les modes de contamination, je pense.

 Il ne faut pas oublier, que c’est la peu qui est anxiogène, et que c’est en répondant aux questions, et luttant contre les ignorances qu’on fait taire la peur et qu’on diminuera la propagation de la maladie.



Françoise Niel Aubin , ,

Version imprimable | Actualités | Le Jeudi 07/08/2014 | 0 commentaires | Lu 644 fois



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