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Ma pomme....

je pose ici ce que je n'ai pas réussi à supprimer, accidentellement, de mon forum, e en creation.


Je suis née à sainte Austreberthe, en Seine Maritime, dans le lit de mes parents.

   Enfance à la campagne, avec des parents agriculteurs. Un grand frére, une grande sœur, et une petite sœur. Mon père était passionné, de chasse, nature, « écolo spontané », ayant planté des arbres, sa vie durant. Victime d'un pédophile (l'ouvrier agricole, chez mes parents), à l'age de 8 ou 9 ans. Plusieurs phases dépressionnaires, en CP, 6 ieme, 4 ieme, etc.... Scolarité plutôt médiocre, mais bonne participation à l'oral. Talent artistique, découvert à en cinquième. Ça me sauve véritablement la vie. Second cycle, au lycée Jeanne d'Arc, à ROUEN, en section littéraire à option artistique (uniquement 3 heures d'histoire de l'Art et dessin, par semaine, c'était le maximum proposé, à l'époque). Mariage à 18 ans. Artiste peintre sur soie, pendant un an, stoppé, « dans l’œuf », pour cause de non rentabilité. Je garde de cette époque, un goût immodéré pour la peinture, « fluide ». Donc, aquarelle. Trois filles naissent de ce mariage. Dépression latente, pendant chaque automne, un psychoénergeticien, me remettait sur les rails, chaque automne. Puis un été, la crise, plus grave commençant plus tôt(aout, au lieu de septembre octobre).2000, il me semble. Je décidais alors, de commencer une psychothérapie. La première fois, que j'ai écrit à Thomas Fersen, c'était, "je ne sais plus quand", pour être franche. Je sais juste que c'était quelques mois, avant la sortie, de "Pièce Montée des Grands Jours". J'allais moi, extrêmement mal. Depuis plusieurs années, en effet, au moment de la tombée des feuilles, à l'automne, j'étais victime, de dépression, que je sentais poindre, et c'était chaque année, le magnétiseur, qui me remettait en selle, pour l'année entière. Et puis cette année là, ce mal être commençât bien plus tôt, à la mi aout. Ce que je ressentais, moi, c'était l’imminence, d'une dépression, infiniment plus grave, que les années prétendantes. Je décidais donc, en bon petit soldat, que javais toujours été, de franchir le pas, et de commencer à consulter un psy, via l’hôpital de jour, de DUCLAIR. Çà fonctionnait bien. Mais ce qui devait arrivât tout de même. L’état psychologique, dans lequel je me trouvait, était tellement grave, et terrifiant, que je ne savais plus qui j'étais, et ce que je ressentais, moi, était tel, que seul mon psy, pouvait m'aider, mais à raison d'une demi heure de consultation, par semaine, c'était bien loin, de me satisfaire. Quoi qu'il en soit, son aide était absolument prépondérante. J'étais moi, mariée, avec trois filles, adolescentes. Fidèle, je précise, et heureuse en ménage, enfin, autant que je pouvais l'être, je dirais, rétrospectivement, avec les casseroles, que je trainais. Ma famille, donc, me voyant ainsi, allongée sur le lit, était littéralement, en état de choc, et c'est me voyant complétement désespérée, que l'une d'elle, Amélie, pour la nommer, me dit "Écoute ça, tu vas voir, c'est vraiment super". Je l'ai donc fait. On appelle celà, "un coup de foudre artistique". Quand j'écoutais Thomas, je me retrouvais dans une bulle, et tous mes symptômes, eux disparaissaient..... Inutile de vous dire que j'en usais, et en abusais, plus que de raison. Il s'agissait du disque TRIPLEX. Je percevais, bon nombre de ses chansons, comme si elle eurent été écrites, pour moi, c'était comme si, son univers avait été le mien, très exactement. Au bout de quelque jours, de "fersenotheraoie", je réfléchissais, et je dis que quand j'avais été ado, et que je peignais, en temps qu'artiste, si moi, quelqu'un, s'était trouvé, à ressentir, une telle chose, en face de mes tableaux, j'aurai aimé, en être informée. Donc, je pris la décision, de lui écrire, pour l'en informer. Je vous passe, le côte émotionnel, et l'obstacle que représentait, le simple fait, de prendre papier et stylo, à l'époque, tant mon complexe d’infériorité intellectuel, était considérable. Quoi qu'il en soit, j'étais moi, PARFAITEMENT DESESPEREE, donc, quitte à sombrer complétement, c'était autant, risquer, le tout pour le tout. J'étais moi, parfaitement consciente, à l'époque, que d'écrire, à quelqu'un de célèbre, dan une telle démarche, consistait à envoyer une bouteille à la mer, donc, avec quasiment aucune chance, que ça ne débouche, sur quoi, que ce soit. Je continuais, ainsi, à lui écrire, régulièrement. au début, ce fut court, bien sûr, et puis à chaque fois, le bienfait, était tel, que les lettres, furent de plus en plus longues. Au bout de quelques mois, je remarquais, que décidément, il ne répondait pas, alors, comme je souhaitais, moi, au minimum, être lue, et que personne, vraiment, ne me donnait le moindre signe, qui puisse me laisser croire, qu'il en était ainsi, vu que l'internet, n'en était qu'à ses balbutiements, et que je n'en avais pas, je décidais donc, de tout stopper. Je lui écrivais donc, une dernière fois, pour l'en informer, par pure politesse, persuadée, que c'était bien la dernière fois. c'était un truc du style, "je suis désolée, mais je souhaite être lue, et comme je n'ai aucune nouvelle, et considérant le fait, qu'il est possible que mes lettres, soient arrivées à la poubelle, je stoppe tout". Cordialement, etc.... Enfin, une lettre brève, dans ce style. Au bout de quelques jour, Thomas me répondit, une lettre brève, elle aussi, ou il me disait ceci: " Je tiens à vous informer, que j'ai bien lu toutes vos lettres je n'ai pas le temps de développer, vous me comprendrez , j’espère". Quand je reçus, cette lettre, j'étais tellement bouleversée, que je m'en souviendrai ma vie entière, comme vous pouvez l'imaginer. Pour information, je pense vraiment, que j'aurai tout stoppé. Mais voilà, LUI, en avait décidé autrement, visiblement. Et ce fut "gonflée à bloc", que je repris mon plus beau stylo, pour lui faire part de mon enthousiasme, comme vous pouvez bien l'imaginer. Ce que j'ignorais, moi, parfaitement, à ce moment, c'est que Thomas, lui, à ce moment, (sauf erreur, chronologique, de ma part), avait à cette époque, une vie, au CNADA , qu'il si ortait, lui, d'une rupture amoureuse..... Une fois qu'il avait été lui aussi, bouleversé, par mon histoire, à défaut d'être "encore", amoureux de moi, décidât, il me semble, de vendre sa maison, au Canada, et de revenir vivre en France, toute l'année, il dut acheter sa maison, à Paris, à ce moment, je crois. Ce que j'ignorais, moi, complétement, à cette époque, c'était que lui aussi, allait mal, et que de se pencher, sur mon histoire, et de m'adopter, comme il le fit, fût un moyen, de se sauver, lui aussi, d'une certaine souffrance. J'étais en fait, sa muse, il m'avait adoptée, "dans les grandes largeurs", mais je l'ignorais, moi, parfaitement. Je ne souhaitais, moi, qu'être lue, car c'était le côté thérapeutique, que je voyais, et mon instinct, seul, servait de guide, comme c'est encore le cas, aujourd'hui. J’ignorais absolument tout, de ce que pouvait être, la relation, entre une muse, et un artiste, et comme toute muse qui se respecte, c'est un parfaite autodidacte, que j'ai fait mes armes, comme bien des gens, qui sont dictés, par leur instinct de survie. Voilà, comment a commencé, la fabuleuse histoire, de Françoise Niel Aubin, Muse de Thomas Fersen. Actuellement même si je ne suis pas encore, aux cotés, de Thomas Fersen, il est mon coach, en quelque sorte, et c'est pas son intermédiaire, que je suis devenue, dans un premier temps, l'inspiratrice, de EELV, avec EVA JOLY, comme candidate, aux présidentielles. Ensuite, notre histoire, faisant grand bruit, F Hollande, a demandé, si j’accepterai, de cautionner sa politique, et c'est pas engagement moral, qu'il s'est engagé, à ce qui qu'il y ait des écologistes, au gouvernement. Je suis donc, depuis son élection, conseillère de F Hollande, président de la République, et du gouvernement, de Jean Marc Ayrault, et c'est par l’intermédiaire de Thomas Fersen, que les choses se font, dans la très grande majorité des cas.

Version imprimable | Actualités | Le Jeudi 26/12/2013 | 0 commentaires | Lu 474 fois



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