S'identifier - S'inscrire - Contact


le droit à mourir dans la dignitié, fait partie integrante des droits de l'homme.

Il serait mal venu de ma part, d'utiliser, ce fait divers, tristement revelateur, à des fins politiciennes.

Mots-clés :


   Aussi, je vais faire mon possible, pour ne pas verser vers ce desir, que je ne nie pas.....
 Voici, l'article en question.

www.francetvinfo.fr/societe/justice/affaire-vincent-lambert-ce-qui-oppose-l-epouse-et-la-mere_627689.html

   Pour ce cas si particulier, il apparait tres nettement, qu'absolument TOUT a ETE FAIT, pour que la moindre chance, de le voir, revenir à vie, réelle, ait été fait.
 la totalité du corps medical, visiblement, se range, aux côtés des decisionnaires, pour pratiquer une euthanasie passive.

 Appelons donc, "un chat", un chat"...
 c'est de vis en "digne", dont il est question.

 Qu'est ce donc, que de pouvoir pretendre, "avoir une vie digne"...
 
  Pour moi, avoir une vie "digne", pourrait se résumer, en une forme de communication, si minimaliste soit elle, qui permette d'exprimer son ressenti, sa volonté, ses desirs, es souffrances.....

 Voilà, pour moi, ce que represente réellement, ce que moi, j'appelle "la dignité", quand mlaheureusement, pour une raison, ou pour une autre, une epouse, la mère de sa feille, en l'occurence, finit par rejoindre, ce que les medecins, eux, aimeraient voir appliqué.

 Mieux que quiconque, ce sont les infirmiers, les aides soignants, plus encore, que les medecis, qui sont à m^me de juger, où en est le patient, et je sais fort bien, moi, qu'en pareil cas, les medecins, ont la saesse, de leur demander leur point de vue....

 La mère du patient, (donc, je le rappelle LA GRAND MERE et LE GRAND PERE du patient, prétendent, qu'il s'agit, venant de lui, je cite "d'un farouche désir de vivre".

 Alors, que les recherches neurologiques, qui ont été prztiquées, sur son cas, sont formelles, et precisent bien, que precisement, ce ne son que des reflexes purement physique, et entièrement séparé, de la moindre source d'emotion....
 
  Je tiens jute à rappeler à ces parents aussi irresponsables, qu'egoïstes,  que les émotions, peuvent parfaitement être "lues", médicalement, pour être "croisées", avec ces signes, que les parents utilisent pour faire valloir leur position.

 Mais moi, il est une chose, absolument monstrueiuse, que je constate, les concernant, c'est qu'à aucun moment, il n'est question, de leur petite fille, qui voit ainsi, son père, reduit à l'etat vegetatif, pour la simple satisfaction viscerale, de refuser la mort, digne de leur fils.

 Un enfant, a besoin d'un père? d'un père veritable, qui lui repond, quand on lui parle, qui sourit, quand elle lui raconte une blague, et qui peut veiller sur elle.

 A aucun moment, ces grands parents, ne se posent la question, s'il ne serait pas necessaire, plutot, au point, où ils en sont,  de savoir, s'il ne serait pas plus raisonnable, par Amour, pour leur fils, et pour leur descendance, mais surtout, donc, plus encore, par Amour, pour cette petite fille, de laisser partir leur fils, precisement, pour que la page soit tournée, et qu'elle garde, elle, l'image de son père "DIGNE"....

 Non, pou eux, il est bien plus fondamental, d'utiliser, la mort de leur fils, à des fins, dont l'idéologie, est indigne, du corps médical....

 Moi, je  conseillerai, à cette  femme  d'autoriser son fils, à mourir. Pour que ce soit moins douureux, psychologiquement, pour elle, plus particulièrement, il serait idela, qu'elle puisse être allongée à ses côtés, afin qu'elle soit en contact physique, avec lui. c'est par elle, qu'ila vu, le jour, et si c'était possible, de proceder aisi, ça serait pour elle, moins traumatisant. cette methode devrait pouvoir, être pratiquée, chaque fois, que quelqu'un meurt, et que la mère, est physiquement, dispov nible, et qu'elle est d'accord, bien sûr.

Françoise Niel Aubin

Version imprimable | Actualités | Le Mardi 24/06/2014 | 0 commentaires | Lu 407 fois



Archives par mois