La droite, et le feminisme.

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La droite, et le feminisme.

Mots-clés : polytechnique, avortement, IVG, extrême droite.

Allez voir, sous les jupes, des « féministes de droite ».

Rien que le titre, on est morts de rire....

Je me suis faite cette reflexion, il y a quelques jours, parce que je cherchais, qui, quelle femme aujourd'hui, qui soit ouvertement de droite, était en mesure, de prendre la parole, pour defendre les femmes....

Je precise cela, non pas par desir de provoquer, mais réellement, parce que la question, se pose, veritablement.....

Alors, bien sûr, je ne suis pas stupide, au point de perde la mémoire, en oubliant, l'une des femmes, les plus meritantes, du siecle passé (et oui, deja), en la personne de Simone Veil, qui s'est battue, bec et ongles, pour que la loi, sur l'avortement, soit enfin promulguée....

J'avais trouvé sur internet, ou bien une émission de télé, je ne sais plus, où il était raconté, à quel point, le combat avait été acharné, pour elle, et combien, elle avait reçu d'insultes, et de menaces de mort, il me semble, même, à l'époque.... J'en avais, moi, froid dans le dos.

Aujourd'hui, nous sommes en 2014, et l'un des pays d'Europe, qui selon certains, était l'un des plus inventifs, et attentionné, vis à vis des femmes, en est à vouloir revenir sur le droit à l'avortement.... Je parle de l'Espagne.

J'ai bien parlé, du droit à l'avortement, qui n'est pas à confondre, la promotion, de l'idée d'avortement, comme certains voudraient le laisser croire.

Le droit, à l'avortement,est un droit absolument fondamental, et qui est un droit, qui plaide, non seulement, pour le droit des femmes à être seules maitres, de leur corps, parce que ce sont les femmes, qui portent les enfants, et ce sont donc à elles, et à elles seules, d'en decider, quoi, qu'en pensent les hommes.

Quand je dis ça, c'est que certains voudraient prendre, ce droit fondamental, comme etant, une forme de promotion, de l'avortement, je pèse mes mots.... Et j'insiste lourdement, puisque c'est necessaire.

Le desir de pratiquer un avortement, pour une femme, peut avoir plusieurs causes.

Et c'est precisement, en prenant en compte, ces differentes causes, que le probleme, se trouve apprehendé, comme il se doit.

Pour information, je tiens juste à preciser, que je suis, moi mére de trois filles, que ces trois filles, leur pere et moi, les avons desirées.

Que si j'avais moi, à l'époque, emis le desir, d'interrompre les grossesses, je ne pense pas que mon mari, à l'époque, s'y serait opposé même si au plus profond de son coeur, il ne l'aurait pas désiré.

Si je prétend cela, c'est que je considére, que d'entreprendre, d'avoir un enfant, necessite, bien au delà, de toute préoccupation, purement matérielle, et financiére, un desir profond, de donner la vie, et d'élever un enfant avec tout ce que cela comporte.

Souhaiter poursuivre une grossesse, je tiens à le rappeler, necessite que de fantasmer ce bébé, soit perçu, comme un moyen, de prolonger sa propre existence, dans une forme d'inconnu merveilleux, entouré d'affection, d'Amour, et de profond respect....

Si une femme, elle, desire, en dehors de toute considération matérielle et financiere, interrompre sa grossesse, c'est que précisement, ces considérations affectives, qui relévent de son intimité, dans ce qu'elle a de plus noble, ne sont absolument pas requises.....

Les pays, où le droit, à pratiquer l'avortement, est soit absent soit remis en cause, laissent les femmes, dans une situation, extrêmement graves, car elle se retrouvent contraintes, d'aller pratiquer l'avortement, à l'étranger, ou bien pire de pratiquer des avortement clandestins....

Ensuite, si la loi, lui a interdit, de le pratiquer, et que malheureusement, elle n'a pas pu aller le faire à l'étranger, car trop pauvre, l'enfant à naitre, risque d'autant plus de se trouver mal accepté, mal aimé, voir nié, battu, et même assassiné.

Si certains, se demandent pour quelle raison, nous parlons tant, d'infanticide, depuis quelques annaées, il est probable que j'en sois, moi, responsable....

A savoir, si ces infanticides, sont plus fréquents aujourd'hui, qu'avant, pour ma part, je dirai que non... le fait, que les cas, qui sont decels, sortent dans la presse, ne fait que traduire, le fait, que par la psychologie, qui sort des livres specialisés, et des cabinet de psychiatrie, ou des hopitaux psychiatriques, demontrnt siplement, que l'on s'interrsse de plus en plus, à la psychologie, en général, et donc, aussi, au processus d'instinct maternel....

En effet il y 20, 30, 40ans ou bien avant, si une femme, etouffait son bébé, et l'enterrait dans son jardin, par definition, personne ne pouvait le savoir....

Un crime, quand il est commis, n'existe réellement, que quand quelqu'un signale une disparition, ou bien que quelqu'un tombe sur le corps, accidentellement.....

En effet, nous savons tous, à present, plus qu'avant, je pense, que certaines femmes, qui n'ont pu avorter, abandonnent leur enfant.

La seule veritable façon, intelletuellement recevable, de limiter le nombre d'avortements, consiste à travailler en amont, en prenant soin, des jeunes couples, psychologiquement, si necessaire, de lutter contre le chomage, et de proposer, une politique adequate, d'education sexuelle, notmment, au sujet de la contracaption.

Mais remettre en cause, le droit à l'avortement, est à mes yeux, la pire des choses à faire, non seulement, pour les femmes, mais pour un peuple, tout entier....

Que la loi l'interdise, ou le remette en cause, en aucune maniére, n'empêchera ces femmes, de pratiquer l'avortement, il faut bien en avoir conscience.

Quand aux positions, de l'Egise catholique, sur le sujet, je ne saurai trop, vous recommander, d'aller réécouter, le discours de François premier, le jour de Noël.

Je precise, pour ceux, qui ne le sauraient pas encore, que je suis, moi, sa conseillére....

Comme pour le reste, je tiens à preciser, qu'être la conseillére, de quelqu'un d'important, sur le plan politique, ne consiste pas à être son supperieur, et encore moins, à se substituer, en quoi, que ce soit, à une quelconque autorité, divine, ou suppérieure (Dieu m'en garde...).

Je ne suis, moi, qu'un eclairage... Comme une lumière qui pose le doigt, sur quelquechose, que les autres ne voient pas, et que donc, je denonce.

Mais si le pape à comme on dit en France « le vent en poupe », c'est précisement, parce qu'il s'inspire de mes propos.

En effet. Si l'Egise, elle, condamne, l'avortement, je tiens à rappeler, selon ses dires, il y a quelques jours, qu'il recommande, à chaque chretien, de ne pas omettre, qu'il est lui, maitre de sa destinée, et responsable, de ses choix...

En d'autre terme, il invite chaque Chretien, à être le principal acteur, de son exitence, et à ne pas se contenter, uniquement, de le considerer lui, comme seule reference ideologique, via, la religion.

Cette nuance, exprimée, par lui, vient de chez moi...

Elle consiste, à rester à l'écoute, des autres points de vue, et des autres ideologies, non pas en opposition, face aux religions, et à la chretienté en particulier, mais bien au contraire, en symbiose, l'être humain, et donc, les chretiens, aussi, etant parfaitement capables, individuellement, ainsi qu'au sein des familles, telles qu'elles doivent être, dans leurs diversités, monopatentales, heterosexuelles, ou homosexuelles, des soutiens absolument irremplaçables.

http://www.europe1.fr/International/Premiere-messe-de-Noel-pour-le-pape-Francois-1753353/

C'est en ce sens, que de voir, les chretiens, s'arquebouter, pour reduire, le droit à l'avortement, moi, me choque profondement, parce que ça signifie, qu'une femme, qui se retrouve enceinte, et qu'elle se sent incapable psychologoquement, d'assumer, cet enfant, voit sa souffrance parfaitement occultée, alors que c'est sa situation de detresse, qui devrait, pourtant interpeler....

Je tiens enfin, pour conclure, que mes theories, sur le sujet, n'ont pour seul objectif, conformement à ce que l'on attend de moi, que de trouver des solutions, qui puissent amoindrir, les souffrances de mes contemporains......

Je crois en Dieu, je suis agnostique, de religion catholique, parce qu' elle m'a été imposée....

Si demain, l'une de mes filles, me disait qu'elle souhaite avorter, je l'inviterai, à en discuter, pour en comprendre les raisons....

Et si les propos que je tiens, la conforte, pour une raison, ou une autre, dans son desir de pratiquer un avortement, alors, je respecterai son choix, sans aucune hesitation.

Et je serai fiére d'habiter un pays, ou la compassion, est le seul veritable rempart, contre la souffrance que supportent certaines.

Car c'est ça, qui me blesse profondement, dan ce recul, en Espagne, aujourd'hui... L'absence de compassion, qui devrait être le principal moteur, de la démarche, et qui est rigoureusement absente.

Enfin, je dois aussi, puisque je vois que parlant du féminisme, de façon générale, je passe par l'avortement, qui est un sujet sensible, en passer par la solution que moi, j'ai deja proposé, au gouvernement français, mais aussi ailleurs, dans le monde.

Cette proposition, tend à mettre en evidence, le fait, que se souciant, du bien fondé, de venir, en aide, à une jeune femme, ou une femme, en tres grande difficulté, etant enceinte, il soit envisagé, si ce desir, n'est lié exclusivement, qu'à des raisons, sociales, et pecuniéres, à la prendre en charge, par le biais d'une association.

Je pense que l'ideal, aussi étrange que ça puisse sembler, pourrait parfaitement lié, à la precedante....

Il suffirait, une fois le décision prise, soit de garder le bébé, soit de ne pas le garder, d'aiguiller, les jeunes femmes, ou les femmes, dans l'une ou l'autre structure....

Ici en France, nous avons, « l 'oeuvre normande des méres »...

Cette association, est destinée à venir en aide, à des jeunes femmes, qui se retrouvent enceintes, et qui desirent garder leur enfant. Il arrive, qu'elles soien rejettées, de leur famille, ou de leur milieu, et sont souvent, en etat de precarité sociale...

Dans cette hypothèse, et dans cette hypothèse seulement, la jeune femme, ou la femme, doit être au contraire encouragée à le garder, et être soutenue, éventuellement, dans une structure, qui la prenne en main...

Pour ce qui concerne, le lien psychologoque brisé, ou en mauvais etat, dont elle souffre, éventuellement, il peut très bien être envisagé, que certains parents à la retraite, ou en age d'être lui serve de parrains, et marraine....

Enfin, pour moi, c'est d'une logique absolue, sachant que bon nombre d'entre eux, ne demandraient que cela...

Je ne parle pas de parrainage d'ordre financier, mais bien de parrainage purement psychologique, et affectif, de telle sorte que l'argent, ne vienne pas pervertir la démarche.

L'asociation, qui prendrait alors, en charge, les deux formules, pourraient fonctionner avec un fichier de « mamans » de substitution, qui visiteraient la structure, pour soutenir, les futures mamans.

Enfin, il est un point, sur lequel, je tiens à insister, lourdement...

c'est celui, encore, qui tend à croire, que le droit à l'avortement, soit un moyen, de promouvoir la demarche, ce qui n'est absolument pas le cas....

Ici, en France, qund une femme souhaite pratiquer un IVG, elle est vue, par une psychologue.

Seule, une psychologue, neutre, donc, sur le plan familial, par definition, est à m^me, d'aider la jeune femme, ou la femme, pour l'aider dans son choix...

Je tiens à rappeler, que l'absence totale, d'instinct maternel, est un fait réel, qui doit ne pas être sous estimé.... Et pour conclure, je ne saurai faire mieux, que de rappeler, le plus élémentaire, qui consiste à ne jamais perdre de vue, qu'une femme, n'existe pas, contrairement à ce que pensent certains, que par son ventre, qu'il s'arrondisse, un jour, ou pas, et que la femme, n'est pas exclusivement, l'oragane reproducteur, de la société.....

J'en tiens pour preuve, les propos, extrêmement graves, qui sont tenus, ici et là, par des militants d'extrême droite, le plus souvent, et qui font honte autant à la democratie, qu'à la condition féminine....

Voir, "rue 89, "comment l'extrême droite, infitre, l'école polytechnique".