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Françoise NIEL AUBIN n'est pas "Suzanne".

Pour que les choses soient bien claires.

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Françoise NIEL AUBIN n’est pas Suzanne. Je parle de la muse qui a inspiré la chanson Suzanne de Bob Dylan.

 Je viens d’entendre ça, sur France Inter radio « bien inspirée », comme chacun sait.

Je vous donne le lien, et la traduction.

https://www.youtube.com/watch?v=otJY2HvW3Bw

La traduction est ici.

http://www.lacoccinelle.net/243649.html

 Il y était expliqué, ce matin, que leur histoire ne fut que platonique.

   Quand la chanson fût sortie, elle fut alors projetée sous les projecteurs, chose qu’elle n’avait jamais désirée.

    Il n’est pas précisé  combien de temps  leur relation durât. Mais une fois cette relation rompue, elle vécut (et vit encore, peut être ?), recluse, dans un mobile home sur une plage, entourée de 5 ou 7 chats.

    En ce qui me concerne, je tiens juste à préciser, que si je me fais rare ces temps ci, que ce soit en vidéo, ou en écriture, c’est uniquement, parce que je suis maintenue, dans une situation  sociale, absolument dégradante, à tous point s de vue, relativement  à ma tutelle, mais absolument pas  pour des raisons d’exposition  médiatique présente ou à venir. Sur ce point, j’ai déjà été très bien préparée.

   Je n’ai jamais envisagé, de « faire de la politique », pour faire carrière, c’est un fait.

   Mais de là, à considérer, que la notion de dignité humaine, puisse m’être interdite, au point de mettre quelquefois  ma vie en danger, non, je regrette….

   Mais ne soyez surtout pas inquiets  à mon sujet, je vais très bien, je tricote, et je dors, en écoutant……. Ce qui me fait envie. Mon instinct, est bien meilleurs gardien, que qui que ce soit d’autre, si « autorisé », soit il, pour « raison d’état ».

    Mais pour en revenir, à Leonard Cohen, j’ai avec lui, une relation, fort particulière, qui est relative à la chanson HURRICANE.

 Il s’agissait, d’une chanson que Bob Dylan avait écrite  à la guitare, au sujet d’un condamné à mort, dont il  avait écouté  l’histoire, de sa propre bouche  le visitant, en prison.

 Cette histoire, est racontée ici .

http://fr.wikipedia.org/wiki/Hurricane_%28chanson_de_Bob_Dylan%29

 Bon, je vois, selon le récit, que visiblement les choses ne se sont pas passées de façon aussi « limpide » que je l’avais moi vue, une nuit, chez moi.

   J’ai eu vent effectivement, un an ou deux, après, en discutant, sur internet, avec un des fans en France, de Bob Dylan, qui a créé un site, qui donne l’absolue traduction, de la moindre chanson de Bob Dylan, et j’en prenais donc c  acte.

   Moi, j’étais à ce moment ici, dans ma petite maison, à Sainte Austreberthe, et le cheminement qui était le mine, n’avait pas lieu de donner plus d’attention, à ce « phénomène » si particulier, relatif, à la genèse d’une chanson.

 A présent, si vous le voulez bien, faisons machine arrière.

 Le disque de Thomas Fersen, vient de sortir.(pièce montée des grands jours).

  
Je suis moi, dans un état de dépression d’une extrême gravité.  Je n’ai pour me soutenir, que mon psy, que je ne vois qu’une fois par semaine, et Thomas Fersen, qui à la suite de ma dernière, lettre, où je lui disais que compte tenu de son silence, j’avais décidé d’arrêter de lui écrire, m’a envoyé, il y a quelques jours, un simple bristol, pour me certifier, qu’il avait bien lues mes lettres.

   Compte tenu du contexte psychologique, où moi, je me trouvais, le fait de devoir assumer, d’être la muse, de Thomas Fersen, était pour moi, je dois bien l’avouer, extrêmement traumatisant.

   Mon mari, à l’époque, autant  en état de choc que moi  je l’étais je dois bien avouer, ne m’était d’aucun secours, et pour cause, il n’était pas responsable de mon histoire, et à chaque foi qu’un homme ou une femme, tombe en état, de dépression, s’il peut affectivement arriver comme c’est souvent le cas, que le mari ou l’épouse ait une part de responsabilité, bien malin, est celui ou celle, qui se retrouve confrontée, à la situation,  qui pourrait donner des leçons sur  ce point.

   Toujours est il que ni lui, ni moi, tous les deux, ne parvenions à trouver le sommeil, et c’est l’un assis à côté de l’autre, qu’en pleine nuit, nous regardions la télévision, de façon purement accidentelle.

 Et nous sommes tombés cette nuit là, sur un reportage, qui relatait l’histoire de cette chanson, avec la notion de « petite merveilleuse »….

 J’ai déjà expliqué, cette notion sur internet, sur des forum, de s psychanalyse, où j’avais déposé mon témoignage, ou sur mon forum.

 Je saisissais alors, la chance qui m’ ‘était donnée, de partager avec mon mari, ce que je ressentais, pour qu’il comprenne.

 

 

 

 

 



Françoise Niel Aubin ,

Version imprimable | Actualités | Le Mercredi 08/10/2014 | 0 commentaires | Lu 668 fois



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