Mots-clés : Feminisme.
Voici, le bilan.
Il peut sembler, un peu fastidieux, peut être, pour certains ou certaines, de prendre le temps de regarder toutes ces videos.
Mais il faut bien admettre que la cause dont il est question, justifie bien, ce petit effort.
Je suis à l'origine moi, "en partie", de bien des aspects de cette démarche, dans sa diversité.
Diversité, par les milieux, où le feminisme, doit avoir son influence plus appuyée, comme le monde du travail, celui de l'exclusion, celui de la précarité, ou celui de la famille...
Nadja, parle elle, de "transversalité", ce qui me semble effectivement, être la chose la plus importante, en ce qui concerne bon nombre de problèmes auxquels nous sommes confrontés, mais bien plus, encore, pour le feminisme.
Je suis particulirement sensible, au fait que l'accent ait été mis, sur le fait que le feminisme aujourd'hui, ne consiste pas, ou plus, comme par le passé, et contrairement à ce que certains pensent encore, à se positionner, en opposition, face aux hommes, mais bien en complémentarité, mettant à profit, la notion de respect de nos differences, et de nos parcours individuels.
J'ai été très sensible à la citation, qu'elle a faite, de Simone de Beauvoir, que je n'ai pas lue, je tiens à le préciser, et qui disait "en libérant les femmes, nous libererons l'homme"....
J'ai vu un reportage, ces derniers jours, qui montrait des papas, dans de grandes entreprises, qui revendiquent à présent de pouvoir disposer de plus de temps, aupres de leur progéniture...
C'est probablement l'un des plus beaux cadeaux qu'on pouvait me faire, en cette fin d'années.
Pour ceux, qui trouvent que le féminisme, est une cause inutile, ou dépassée, je souhaite simplement leur dire une chose. Enfin, non, quelques "babioles", qui me trainent, par si, par là, dans le coin de la caboche....
Et pour l'occasion, tiens, ça sera mes voeux feministes, pour cette nouvelle année, qui commence.
Que votre mére, si elle vit encore, soit fiére, de vous avoir mis au monde, vous, qui êtes un homme, qu'elle soit fiére, elle, aussi, d'elle même, d'avoir eu des enfants, et si c'est le cas, qu'elle soit fiére aussi, d'avoir mené, parallélement, comme beaucoup, le dur combat, d'avoir travaillé, en même temps...
Qu'elle soit fiére, d'avoir été désirable, quand elle était jeune et belle, qu'elle soit fiére, d'être desirable, l'age venant, aussi, fiére, d'avoir pleuré, quand elle n'en pouvait plus, fiére, d'avoir tenu tête, à un connard, qui lui manquait de respect, fiére de s'être battue, pour défendre ses idées, fiére d'avoir su consoler, quand elle voyait que seule elle, en était capable, quand les autres s'efondraient, tolérante envers elle même, quand elle voyait qu'elle craquait, et que personne ne la soutenait.
Que votre fille, si vous a en avez une, ou votre soeur, soit fiéres, elles, aussi, d'avoir eu, comme exemple, une femme aussi mervelleuse, qui ait bravé, ainsi, les tempêtes, et qu'elle fasse son admiration, de telle sorte que l'age venant, de façon transgénérationnelle, votre soeur, et votre fille, puissent entretenir cette énergie vitale, qui tend à exiger le respect, de la part de la loi, et des Hommes, qui jusqu'alors ont été les seuls, à la faire.
Voilà, vous monsieur, qui doutez, du bien fondé du féminisme, ce que je vous souhaite.
Françoise Niel Aubin Feminisme.
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